Laporte: « Soit aussi con que ton père et tu feras une carrière ! »

Laporte: « Soit aussi con que ton père et tu feras une carrière ! »

Le dimanche 17 février 2013 à 11:37 par David Demri

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Interrogé par Var-matin à l’issue de la victoire contre Montpellier, le manager Toulonnais Bernard Laporte a évoqué les débuts du jeune Ivan Roux à Mayol. Il affirme être heureux pour le centre de formation Toulonnais. Extrait:

« Moi je n’y suis pour rien, mais pour un club c’est riche et beau. Ca fait plaisir d’autant plus que j’ai joué contre son père. J’ai dit à Ivan: soit aussi con que ton père et tu feras une carrière ! »

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  1. georges 17 février 2013 at 11h

    :$:*:*….Oh…pitin…s'il te lit…mon ami…change de lunettes !!!!!!!!….LoooooooooooooooL……Allez TOULON…

  2. starlette 17 février 2013 at 11h

    en dehors sûrement pas….charmant garçon yvan mais sur les terrains l'a pas tord bernie.je me rappelle que ça avait été le premier rugbyman à se faire piéger par les caméras de canal…au stade de la méditerranée je crois….enfin c'est si loin

  3. San Nari 17 février 2013 at 13h

    il a quand même un humour spécial parfois Bernie.

    • jipe83 17 février 2013 at 16h

      Entre humour et muflerie, je pencherai plutôt pour muflerie.

  4. T-max 17 février 2013 at 13h

    :* du 100% Bernie dans le texte.

  5. eric.7283 17 février 2013 at 13h

    quand tu dis ça à un fils en parlant de son père…
    C est bien sûr un compliment car "con" n est pas employé dans le sens "débile" mais dans le sens "obstiné" déterminé" agressif"….un peu comme notre botha actuellement.

  6. garry38 17 février 2013 at 14h

    Yvan ROUX, "Yvan le Terrible" – moi je garde en mémoire ses chevauchées un soir de 8 eme aller-retour contre Brive au stade Mayol – C'était du grand Brive à l'époque – on avait été battu sévère au match aller et personne ne donnait cher de nos chances jusqu'à ce qu'un jeune deuxième ligne colossal, pur produit du club ne sonne la révolte à grands coups de charges dévastatrices et Brive explosa …
    Je me souviens aussi d'une demie finale à BEZIERS contre Castres (en 1992) où il anesthésia le deuxième barre adverse d'un seul coup (SWIADECK) – je revois encore l'arbitre s'adresser au capitaine toulonnais "s'il sort sur blessure (SWIADECK) c'est un rouge" et le castrais se releva pour s'allonger sur la civière et Yvan ROUX prit un rouge qui laissa les copains à 14 pendant plus d'une demie heure et fut privé de la finale et du bouclier mais sa suspension fit le bonheur d'un autre jeune colosse pur produit du club G. ORSONI….

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