Le plus dur reste à faire selon Orioli
Le plus dur reste à faire selon Orioli
Le lundi 24 décembre 2012 à 12:24 par David Demri
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Interrogé par Var-matin, les joueurs Toulonnais ne tiennent pas vraiment compte de leur titre honorifique de champion d’automne. Le talonneur Sébastien Bruno affirme même « s’en foutre » avant d’ajouter « C’est à la fin de la guerre qu’on compte les morts« .
Pour Jean-Charles Orioli, c’est le même discours. Selon lui, le plus dur reste à faire:
«Ce n’est même pas symbolique. C’est comme ramener une fille à la maison. Le plus dur reste à faire.»
Sébastien Bruno essaye d’expliquer la défaillance des Rouge et Noir lors de cette opposition:
« On voulait pourtant les fixer devant pour sortir des ballons propres pour nos trois-quarts, mais la défense agenaise nous en a empêchés. Il faut dire que le contexte du match était particulier. Les Agenais avaient besoin de points et nous, on a eu du mal à se remotiver après notre victoire face à Sale. Personne n’a voulu prendre de risque et il manquait un essai pour se lâcher. C’était un match traquenard qui s’est joué à rien. Si on s’était loupé sur une chandelle ou si Jonny s’était raté au pied, on passait à la trappe…»
La victoire est tout de même là et c’est bien le plus important !
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💡 Je rajouterais: c'est à la fin du bal qu'on paye les musiciens.
😉 Et ma préférée: c'est à la fin de la foire aux bestiaux, qu'on compte les bouses.