Frédéric Michalak pense à l’équipe de France
Frédéric Michalak pense à l’équipe de France
Le lundi 3 septembre 2012 à 20:57 par David Demri
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Interrogé par RMC SPORT, Frédéric Michalak a avoué penser à l’équipe de France. Néanmoins, sa priorité est de donner le meilleur pour le Rugby Club Toulonnais. Extrait:
« Moi, oui, je pense à l’équipe de France, je ne vais pas vous mentir, même si je pense d’abord au club, à bien rentrer dans le groupe, bien m’intégrer, avoir du temps de jeu et être le meilleur possible quand je suis sur le terrain. En fait je ne me pose pas des millions de questions, je suis à fond dans le club. ce qui m’habite, c’est Toulon et la réussite du club. »
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il a un oeil qui joue au baby et l'autre qui compte les points !!!!
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Top 14 : Toulon, la puissance du banc
Doté d'un effectif haut de gamme, le RCT peut plier un match à tout moment avec ses suppléants de luxe
Botha et les Toulonnais, victorieux à Mont-de-Marsan, sont désormais coleaders du Top 14 avec Biarritz.
Samedi soir, Mourad Boudjellal n'a pas eu à partir à la mi-temps. Au cours de l'après-midi, assis dans le salon de l'hôtel du RCT, à Saint-Pierre-du-Mont, le président toulonnais, arrivé la veille dans les Landes après six heures de route, avait échafaudé plusieurs scenarii. Parmi eux, la soirée catastrophe.
"Si on n'existe pas en 1re période, c'est bien simple, je quitte le stade sur le champ et je file vers Toulon. Je ne veux pas voir ça", s'était-il promis en refermant l'ordinateur portable sur lequel il venait de visionner plusieurs clips de rap. "J'écoute toujours de la musique avant un match, avait-il encore confié, casque sur les oreilles. Ça me permet d'évacuer la pression."
Boudjellal est reparti de Mont-de-Marsan, plus tard, tout à fait rasséréné. Même contestée les trois-quarts du temps, son équipe a globalement fait le boulot (15-29), samedi, devant un promu montois accrocheur mais irrémédiablement limité. Tout le contraire d'une grosse machine toulonnaise à la densité impressionnante. Arrivé en cours de saison, l'an dernier, en remplacement de Philippe Saint-André, devenu sélectionneur du XV de France, Bernard Laporte a progressivement imposé sa marque dans le club varois. Le nouveau manager du RCT avait notamment identifié les paramètres nécessaires à sa propre politique sportive et ce ne sont pas les deux finales perdues, en Challenge Européen puis en Top 14, qui l'auront fait changer de direction.
Un effectif "galactique"
Si Toulon aspire à décrocher son premier titre majeur depuis le Bouclier de Brennus de 1992, il lui fallait absolument disposer d'un effectif en conséquence, avec au moins deux indéniables titulaires à chaque poste. On connaît la suite. Quand le RCT débarque à un endroit, ce n'est pas simplement une équipe de rugby professionnelle qui fait escale, mais une armée d'élite. Mais si la liste de ses CV impressionne, ce Toulon-là ne se résume pas à des noms, tous aussi illustres les uns que les autres. Il y a surtout des résultats au bout.
En trois journées, trois déplacements – à Perpignan (15-21), à Colombes face au Racing-Métro (21-23) et donc à Mont-de-Marsan -, le vice-champion de France a réalisé un carton plein assorti d'un point de bonus offensif, samedi, et il est déjà coleader avec Biarritz, un rang synonyme de qualification directe en demi-finales. À ce stade, cette position est purement anecdotique, bien sûr. Ce qui l'est moins, c'est la force d'ensemble dégagée par l'effectif toulonnais. L'autre soir, au stade Boniface, les changements opérés par Laporte, à l'heure de jeu, ont pu donner le tournis aux joueurs montois. Ceux-ci ont vu ainsi entrer Giteau, Shaw ou encore Michalak. De quoi vous plomber le moral, alors que vous êtes en surrégime depuis le début du match. L'apport et la fraîcheur physique de ces suppléants de luxe n'ont, d'ailleurs, pas tardé à faire basculer la rencontre (15-14 à la 65e, puis 15-29 au final). S'il avait courageusement agrippé les mollets du XV de départ toulonnais, le Stade Montois ne pouvait pas rivaliser dans le "duel des bancs".
Un potentiel homogène
"Ceux qui ont intégré l'équipe en 2e période ont offert une réelle plus-value, confirme Laporte. Ils ont amené la puissance qu'il nous fallait sans doute à ce moment-là. Cela avait été la même chose à Paris, contre le Racing-Métro, avec Orioli, Suta ou Gunther." On l'a bien compris, le RCT implique trente gaillards au potentiel homogène. "Le plus intéressant, c'est l'état d'esprit de ces mecs, constate leur coach. Joueurs confirmés ou espoirs du centre de formation, tous ont envie de rester et de rire ensemble. La mayonnaise prend bien. Qualitativement autant que quantitativement, on est plus riche que la saison dernière, c'est une évidence. Mais on s'appuie aussi sur un bon groupe composé de gars intelligents. Je le sens. Là, on sort d'un stage de 10 jours ; c'est long. Au bout d'un moment, on a envie de revoir nos familles. Malgré tout, on était bien ensemble et ça, c'est un signe de bien-être." Cela saute même aux yeux, les jours de match.
Laurent BLANCHARD SOURCE LAPROVENCE
Belle article !
Bravo
😀 😀 …merci..CHRIS83..grâce à toi en nous levant…on se régale déjà..à bientôt pour une mousse notre ami..suave bibliothécaire !!! Allez TOULON