Missoup a la grimace

Missoup a la grimace

Le mercredi 12 octobre 2011 à 18:58 par David Demri

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Olivier Missoup, le troisième ligne du RCT, a été entendu par la police de Montpellier mercredi dans le cadre de l’affaire d’agression envers Rémy Martin. Au cœur de la tourmente, le natif de Neuilly-sur-Seine a reçu le soutien de son club par la voix de Mourad Boudjellal, son président.
L’affaire Missoup-Martin n’est pas prête de s’achever. Accusé d’avoir violemment agressé Rémy Martin, le troisième ligne de Montpellier le 30 septembre au soir, Olivier Missoup, joueur du RCT, a été entendu dans les locaux du commissariat central de Montpellier ce mercredi. Le natif de Neuilly-sur-Seine est soupçonné d’avoir asséné plusieurs coups de poing et de pied à son homologue du MHR lors d’une réception d’après-match. Midi Libre précise que le joueur est arrivé en compagnie de Mathieu Bastareaud, entendu comme témoin, et Mourad Boudjellal. Une situation qui a le don de scandaliser le président du club varois, toujours prompt à monter au front quand il s’agit de défendre un de ses joueurs.
« Cette histoire n’a rien à faire à la brigade criminelle, même eux (les policiers) étaient gênés. Olivier Missoup a été mis en garde à vue sous le chef d’agression avec préméditation alors que c’était juste une bagarre à la fin d’un match », a confié Mourad Boudjellal à Var Matin. Entendu pendant plus de deux heures par les policiers montpelliérains, le boss du RCT trouve la situation « totalement disproportionnée. Il y a eu 200 témoins et seulement Mathieu Bastareaud et moi avons été convoqués… J’espère que le procureur mettra autant d’entrain à enquêter du côté de Remy Martin », a renchéri Boudjellal.
Sur le site officiel du club toulonnais, un communiqué souligne le caractère stupéfiant « que cette simple altercation soit traitée par cet organisme de police, chargé habituellement des homicides, des enlèvements avec demande de rançons, des attentats, etc… et avec un tel acharnement. » Un temps taxé de propos racistes, Rémy Martin avait vivement démenti avoir proféré de telles insultes. « Au moment des faits, j’étais en pleine discussion avec Mathieu Bastareaud, qui est mon ami: plutôt surprenant pour quelqu’un qui est taxé de « raciste », non ? C’est affligeant. Ces propos sont complètement inventés. » Une confrontation est prévue entre les deux hommes pour tenter d’éclaircir une histoire qui fait tache dans le monde de l’ovalie.

Olivier Missoup, le troisième ligne du RCT, a été entendu par la police de Montpellier mercredi dans le cadre de l’affaire d’agression envers Rémy Martin. Au cœur de la tourmente, le natif de Neuilly-sur-Seine a reçu le soutien de son club par la voix de Mourad Boudjellal, son président.

L’affaire Missoup-Martin n’est pas prête de s’achever. Accusé d’avoir violemment agressé Rémy Martin, le troisième ligne de Montpellier le 30 septembre au soir, Olivier Missoup, joueur du RCT, a été entendu dans les locaux du commissariat central de Montpellier ce mercredi. Le natif de Neuilly-sur-Seine est soupçonné d’avoir asséné plusieurs coups de poing et de pied à son homologue du MHR lors d’une réception d’après-match. Midi Libre précise que le joueur est arrivé en compagnie de Mathieu Bastareaud, entendu comme témoin, et Mourad Boudjellal. Une situation qui a le don de scandaliser le président du club varois, toujours prompt à monter au front quand il s’agit de défendre un de ses joueurs.

« Cette histoire n’a rien à faire à la brigade criminelle, même eux (les policiers) étaient gênés. Olivier Missoup a été mis en garde à vue sous le chef d’agression avec préméditation alors que c’était juste une bagarre à la fin d’un match », a confié Mourad Boudjellal à Var Matin. Entendu pendant plus de deux heures par les policiers montpelliérains, le boss du RCT trouve la situation « totalement disproportionnée. Il y a eu 200 témoins et seulement Mathieu Bastareaud et moi avons été convoqués… J’espère que le procureur mettra autant d’entrain à enquêter du côté de Remy Martin », a renchéri Boudjellal.

Sur le site officiel du club toulonnais, un communiqué souligne le caractère stupéfiant « que cette simple altercation soit traitée par cet organisme de police, chargé habituellement des homicides, des enlèvements avec demande de rançons, des attentats, etc… et avec un tel acharnement. » Un temps taxé de propos racistes, Rémy Martin avait vivement démenti avoir proféré de telles insultes. « Au moment des faits, j’étais en pleine discussion avec Mathieu Bastareaud, qui est mon ami: plutôt surprenant pour quelqu’un qui est taxé de « raciste », non ? C’est affligeant. Ces propos sont complètement inventés. » Une confrontation est prévue entre les deux hommes pour tenter d’éclaircir une histoire qui fait tache dans le monde de l’ovalie.

Source: rugby365.fr

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  1. Roberto 12 octobre 2011 at 20h

    Que MB se calme , il est parfaitement inutile de battre les tambours du bronx…Il n'a rien vu alors qu'il se contente de défendre Missoup en parlant de lui comme d'un homme bien tant sur le terrain que dans sa vie . IL n'a rien vu donc…

    Bastareaud dira la vérité sans avoir à porter une quelconque responsabilité sur la suite donnée à cette malheureuse affaire.

    Aprés les dépositions et La confrontation nécessaire pour apporter plus de précisions et déboucher peut être sur la réalité des faits souhaitons que celui qui est le plus en cause fasse amende honorable pour essayer de clore les débats….et que l'on oublie ceci.

  2. Mimo83 12 octobre 2011 at 20h

    Non, dans le cas présent, et dans une affaire qui prend des proportions ridicules, MB a parfaitement raison de parler et de s'indigner. Les accusations et la qualification d'agression avec préméditation, c'est extrêmement grave…

  3. Mimo83 12 octobre 2011 at 20h

    Au passage, le journaliste aurait pu se passer d'un jeu de mot pas terrible, pour son titre… mais ça, c'est subjectif et ça n'engage que moi…

  4. sylvain-06 12 octobre 2011 at 20h

    non tu as raison mimo , c'est complètement débile ce titre . Ce journaliste est du niveau des posteurs de réactions aux articles de rugbyrama.

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