Le président de Bayonne tacle Laurent Marti !
Le président de Bayonne tacle Laurent Marti !
Le mardi 21 janvier 2025 à 7:41 par David Demri
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Comme vous le savez, l’Union Bordeaux-Bègles fait le forcing pour recruter le pilier droit international Français Tevita Tatafu.
Problème : le joueur est lié avec l’Aviron Bayonnais jusqu’au mois de juin 2026.
Pour l’heure, le club Basque fait tout son possible pour convaincre son joueur de poursuivre sa carrière à Bayonne.
Interrogé via France Bleu, le président de Bayonne, Philippe Tayeb a fait un point sur le dossier. Extrait:
« Tevita est Bayonnais jusqu’à preuve du contraire. Il est sous contrat et doit l’honorer. »
Il n’a pas manqué de tacler le président de l’UBB, Laurent Marti, sur sa manière de fonctionner. Extrait:
« Quand on veut recruter un joueur sous contrat, la première chose à faire est de contacter le président. À ce jour, je n’ai reçu aucun appel. »
Il l’affirme : des discussions sont en cours avec son joueur. Extrait:
« Il est jeune et tiraillé par des conseillers qui ne servent pas toujours son intérêt. Nous faisons tout pour le protéger. Nous discuterons avec lui, mais il est important qu’il se souvienne de ce que le club lui a apporté. »
Pour conclure, il indique qu’une vente du joueur sera étudiée si le pilier souhaite réellement rejoindre l’UBB. Extrait:
« Cela pourrait être une solution si cela nous permet de nous retourner et de préserver l’équilibre du club. Mais pour l’instant, nous souhaitons qu’il reste et qu’il continue à s’épanouir chez nous. »
Affaire à suivre…
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Pas du tout confiance aux qualités humaines de ce président.
Quel président ? . Il voulait simplement que Marti lui adresse un pigeon voyageur avec le message suivant : Est-ce que vous pourriez m’autoriser à vous piquer votre pilar droit international ? C pas compliqué la politesse.
Parce que les qualités humaines de celui du MHR c’est mieux ??
Et c’est pas fini, dès que l’UBB va truster les titres (pas de suite), on n’a pas fini de les entendre. Vous allez regretter les toulousains c’est moi qui vous le dis.