Teddy Iribaren raconte la pénalité de la gagne qu’il marque contre le Racing 92
Teddy Iribaren raconte la pénalité de la gagne qu’il marque contre le Racing 92
Le mercredi 2 octobre 2024 à 0:05 par David Demri
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Lors d’un entretien accordé au Midi Olympique, le demi-de-mêlée du Stade Rochelais, Teddy Iribaren est revenu sur la victoire remportée contre le Racing 92, samedi dernier à Créteil.
L’ancien joueur Francilien analyse la prestation de son équipe qui reste à désirer. Extrait:
« À Créteil, nous avons produit du jeu mais on a aussi eu beaucoup de mal à finir nos actions. Au vu du match, je crois qu’on mérite néanmoins de gagner : nous aurions en effet pu marquer deux essais supplémentaires et devons donc apprendre, dans le futur, à être plus « tueurs ».
Aujourd’hui, le groupe retient donc avant tout la victoire à l’extérieur, ce qui ne nous est pas arrivé si souvent que ça l’an passé… À chaud, j’ai du mal à expliquer le déchet que nous avons connu balle en main, face au Racing. Mais il ne faut pas oublier non plus que les Franciliens sont généralement très forts dans le combat au sol, ce qui leur a permis samedi de ralentir nos sorties de balles et contrecarrer notre jeu. Peut-être aurions-nous dû développer plus de mauls pénétrants, un secteur de jeu où nous avons globalement de très bons arguments… »
Auteur de la pénalité de la gagne à la dernière minute de jeu, Teddy Iribaren a crucifié ses anciens coéquipiers du Racing 92.
Il revient sur ce moment très important. Extrait:
« La dernière pénalité du match ? Juste avant, il y a une transformation qui peut aussi nous permettre d’égaliser à 16-16. Je la tape mal mais au fond de moi, je reste alors persuadé qu’on aurait une ultime occasion avant le coup de sifflet final. Sur l’action qui me permet de tenter cette pénalité, les avants font un énorme boulot, mettant les Racingmen à la faute. […]
Le coup de pied, lui, était plutôt facile : je m’entraîne toute l’année pour ça, je suis habitué à ce genre de contexte et le plus souvent, j’arrive donc à faire le vide. Quand mes coéquipiers sont venus me féliciter en fin de match, j’étais heureux : ça prouve que je compte à leurs yeux. »
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