Marie-Alice Yahé dévoile le remède miracle pour les commotions cérébrales !

Marie-Alice Yahé dévoile le remède miracle pour les commotions cérébrales !

Le vendredi 27 septembre 2024 à 16:28 par David Demri

2 Commentaires

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L’ancienne internationale Française Marie-Alice Yahé a connu plusieurs commotions cérébrales au cours de sa carrière.

Comme le révèle le journal L’équipe, celle-ci a vécu pendant près de 10 ans avec des séquelles.

Mais un remède miracle lui a permis de voir ces séquelles disparaître.

Ce remède miracle, c’est la photobiomodulation.

Elle s’est confiée via L’équipe. Extrait:

Quand la société RegenLife a présenté cette nouvelle technologie devant le Sénat, après les premières études des docteurs Chermann et Malafosse, j’avais été invitée pour témoigner de ma propre histoire et expliquer les séquelles dont je souffrais depuis près de dix ans à cause d’une série de commotions (cinq ont été identifiées) qui m’ont forcée à arrêter ma carrière en 2014. Quand les médecins ont entendu mon récit, ils m’ont proposé d’intégrer un petit groupe de sportifs, avec Cléopatre Darleux (gardienne de l’équipe de France de handball) et Antoine Burban (ancien troisième-ligne du Stade Français), souffrant de symptômes persistants pour pouvoir bénéficier du traitement par photobiomodulation dans le cadre d’une pré-étude.

Elle énumère les séquelles dont elle était victime. Extrait:

D’abord, beaucoup de maux de tête. À Canal+ (où elle est consultante), par exemple, je prenais des dolipranes très souvent car j’avais du mal à supporter les spots, le casque sur la tête, le bruit. J’avais aussi du mal à me concentrer et aucun repère dans l’espace, aucun équilibre. Si je faisais une roulade par terre avec mon fils, je ne savais plus où j’étais en me relevant, parfois je vomissais. Et je souffrais d’angoisses : après une de mes commotions, on était logées au 7e étage d’un hôtel et j’avais développé une phobie des ascenseurs.

Elle explique comment ces séances ont été favorables pour elle. Extrait:

D’abord, les docteurs Chermann et Malafosse m’ont soumis à plusieurs examens sous forme de jeux. Avec un appareil qui s’appelle un Neurotracker, on doit suivre plein de balles qui bougent dans tous les sens pour calculer la vitesse à laquelle notre cerveau est capable de retenir des choses.

J’ai aussi été testée au niveau de l’équilibre sur une plateforme de stabilométrie. Quelqu’un filmait à ce moment-là et, par rapport à l’encadrement de la porte, on peut constater à quel point je tangue. Ces exercices, j’avais été incapable d’aller au bout tellement ça me mettait mal. Cela avait ravivé beaucoup de choses, les peurs, les maux de tête, les nausées… Ensuite, on a attaqué les séances, deux par semaine en même temps qu’Antoine et Cléopatre. On en a eu huit sur un mois, puis le bilan final, où on a à nouveau subi tous ces tests.

Elle évoque des résultats exceptionnels. Extrait:

Au niveau des chiffres, les résultats étaient assez exceptionnels. Le plus flagrant, c’était la stabilométrie, j’étais passée d’oscillations de 400 mm²/seconde à 70. J’étais stable, je ne bougeais plus, même les yeux fermés. Mais surtout, ce qui était bluffant, c’était mon ressenti. Je me sentais complètement libérée d’un poids. Avant, j’avais l’impression d’être en proprioception (*) en permanence, surtout quand il y avait de la foule autour et du mouvement. Là, plus du tout. Depuis, je n’ai plus eu besoin de prendre de Doliprane ; je peux monter dans les ascenseurs !

Pour conclure, elle explique que les commotions favorisent le développement de phobies. Extrait:

Les angoisses font partie des symptômes mais je ne le savais pas jusque-là. Dans mon cas, j’ai eu une commotion doublée d’une fracture du plancher orbital, avec trois pertes de connaissances d’affilée.

À partir de là, j’ai développé plein d’angoisses, je vivais seule et j’avais toujours peur de tomber dans les pommes. J’ai longtemps cru que c’était moi qui avais un problème ou même que j’étais folle. Les docteurs Chermann et Malafosse m’ont expliqué que non. Ils m’ont dit que c’était comme quand on s’amuse à dire : « Tu as perdu une case. » Tant qu’on ne la remet pas en place, il y a vraiment ces peurs qui arrivent.

Cette boule que j’avais en permanence, ce soulagement que j’ai ressenti, c’était ça : « En fait, je n’étais pas dingue… » Être prise en charge, sentir cette légèreté dès la première séance… Wow ! Je me suis dit : « Wow, je ne sais pas où ça va me mener mais, par contre, qu’est-ce que ça me fait du bien. »

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2 Commentaires

  1. bfi 27 septembre 2024 at 17h- Répondre

    REGEnLIFE :pépite de Montpellier

    Un process non invasif : pas de médicament, ni opération…un seul travail sur le cerveau bu comme un muscle. Bravo

    top 🙂

  2. Toulouse 28 septembre 2024 at 18h- Répondre

    Ça change du remède habituel: la 3ème mi-temps