Affaire Jegou – Auradou : L’avocat de la défense peste contre la plaignante qui n’a pas voulu donner son téléphone à la justice !

Affaire Jegou – Auradou : L’avocat de la défense peste contre la plaignante qui n’a pas voulu donner son téléphone à la justice !

Le mercredi 7 août 2024 à 9:36 par David Demri

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Les deux rugbymen du XV de France Oscar Jegou et Hugo Auradou sont accusés de « viol aggravé » par une femme argentine de 39 ans. Ils reconnaissent avoir eu une relation sexuelle avec elle, dans la nuit du 6 au 7 juillet, mais nient toute contrainte ou violence. Ils seront auditionnés jeudi 8 août.

Statu quo dans l’affaire Oscar Jegou-Hugo Auradou, chaque camp maintenant sa version. Les deux joueurs du XV de France sont accusés de « viol aggravé » par une femme argentine de 39 ans, qui assure également avoir essuyé des coups de leur part.

Dans le rapport médico-légal, « une quinzaine de blessures » sont recensées. « Des micro-lésions ou des marques« , argue Me Antoine Vey, un des avocats d’Oscar Jegou et Hugo Auradou.

Tous deux reconnaissent avoir eu une relation sexuelle avec la plaignante dans une chambre d’hôtel après le test match Argentine-France, dans la nuit du 6 au 7 juillet, mais nient toute contrainte ou violence.

Les internationaux tricolores, placés en résidence surveillée en Argentine depuis leur sortie du centre de détention, seront entendus par le tribunal de Mendoza jeudi 8 août. Face à la presse, Me Rafael Cuneo Libarona, autre avocat des suspects, promet qu’ils n’ont « rien à cacher ».

« Il y a eu des contradictions notables et ce qui est encore plus grave, c’est que différentes versions de l’histoire ont été autorisées », plaide-t-il. Le conseil regrette en outre qu’elle n’ait « pas voulu donner son téléphone à la justice pour pouvoir déchiffrer ce qu’il s’est passé ».

Via RMC Sport

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1 Commentaire

  1. Flattwin38 7 août 2024 at 18h- Répondre

    Bizarre.
    La « manifestation de la Vérité » ne peut pas se faire parce que la victime présumée ne veut pas donner certains éléments ?
    Que peut elle bien craindre quand ses agresseurs présumés sont surveillés et que leur avenir est entre ses mains ?