L’arbitre Tual Trainini affirme avoir vécu un moment très difficile lors de la demi-finale Toulouse – La Rochelle
L’arbitre Tual Trainini affirme avoir vécu un moment très difficile lors de la demi-finale Toulouse – La Rochelle
Le lundi 24 juin 2024 à 9:48 par David Demri
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L’arbitre Français Trual Trainini a dirigé la demi-finale de Top 14 opposant le Stade-Toulousain au Stade Rochelais, vendredi soir au Matmut Atlantique.
Au cours d’un entretien accordé à Midi Olympique, ce-dernier a expliqué pourquoi il a sorti le carton rouge à deux reprises lors de cette rencontre : une fois à l’encontre d’Uini Atonio, une autre fois à l’encontre de Reda Wardi.
Tual Trainini explique clairement qu’il n’avait pas d’autre choix que de sortir le carton rouge pour les deux joueurs étant donné les fautes effectuées.
D’ailleurs, l’arbitre Français ne cache pas avoir vécu un moment assez difficile sur la pelouse du Matmut Atlantique.
Il l’affirme : pénaliser une équipe de deux cartons rouges n’est pas du tout facile à vivre en tant qu’arbitre, surtout pour un match d’une telle importance. Extrait:
« C’est un moment vraiment compliqué à arbitrer. Je sais que j’ai déjà sorti un premier carton rouge, qui a déjà été un moment marquant de cette demi-finale. Quand ce moment avec Reda Wardi arrive, je suis désolé d’en arriver à sortir un deuxième carton rouge.
Quand on arbitre, on aimerait plutôt traverser le match dans une forme de discrétion. Là, je me retrouve en pleine lumière mais je n’ai pas d’échappatoire. Je suis arbitre, j’assume mes responsabilités. »
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Assumer ses choix quand on est arbitre, c’est la base, et ce même quand cela soulève des réactions épidermiques. C’est donc tout à votre honneur d’avoir pris des décisions forcément impopulaires auprès des Rochelais…..mais on s’interroge parfois….comme un carton jaune qui aurait dû virer au rouge contre Skelton à Mayol, ou un essai de pénalité qui aurait dû tomber pour le SF contre l’UBB au MATMUT de Bordeaux….les aléas de l’arbitrage….vaste débat..
C’est ce que j’affirme, trop de place à l’interprétation donc trop de poids sur les épaules arbitrales. Le règlement doit être perfectionné afin de mieux déterminer les situations et mieux encadrer les sanctions, et libérer les arbitres. Par ailleurs, il faut mieux les former également et tous les professionnaliser.
Sur ces points là on ne peux qu’être d’accord avec toi. Sur l’ AUTRE ça dépend de toi….
Sue Atonio un jaune aurait largement suffi si on regarde ce que font généralement les arbitres sur ce genre de plaquages.Ils trouvent tous des circonstances attenuantes . Mais pas lui !!! Donc après quand il faut vraiment sortir un rouge il se sent le cul merdeux.
Atonio a toujours eu une carrière exemplaire, il ne peut pas se baisser plus, sinon son poids du haut du corps le fait tomber, son bras touche en premier le bas de la tête de Flament qui lui aussi se baisse.
Tout comme Trainini, rajoute et entendu dans la bande sonore du match que Atonio arrive à toute vitesse, cette vitesse prouve alors qu’Atonio est un des plus lents piliers droits de France s’il arrive à 12km/h c’est le maxi faisable, mème Colombe est plus rapide tout comme Skelkton et je n’évoque mème pas Tuilagi, donc rajouter que la vitesse est sur le coup un élément majeur, je me marre.
Encore un cadeau fait à certains et pas à d’autres.
Tantbrave regarde le match et tu verras la vitesse d’Atonio. Si tu connais un peu le rugby tu verras que le carton rouge est mérité comme celui que Skelton aurait dû prendre la semaine dernière. Seul toi et le chef d’escadrille Adoneros diront le c… ontraire.
Si tu regardes bien, on est bien plus que 2 à dire qu’il y a une circ.onstance atténuante dans le fait que Flament se baisse au dernier moment. Ceci n’a rien à voir avec la vitesse d’Atonio. Si Flament ne se baisse pas, il n’y a pas de c.ontact à la tête et on n’a pas cette discussion. D’ailleurs, il y aurait eu carton jaune et on n’aurait pas cette discussion non plus.
Mais je perds mon temps à tenter de te le faire comprendre, ça doit faire 10 fois que je l’explique et toi tu tournes en boucle. Pourtant, cette fois j’y croyais, mais non, on a déjà atteint tes limites…