Les Clermontois se sont bien amusés avant de défier Toulon, à Mayol
Les Clermontois se sont bien amusés avant de défier Toulon, à Mayol
Le jeudi 30 mai 2024 à 23:32 par David Demri
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Ce dimanche, Clermont défiera Toulon au Stade Mayol à l’occasion de la 25ème journée du Top 14.
Longtemps largués au classement, les Auvergnats effectuent une très belle fin de saison.
Grâce à cette belle remontada, les Clermontois ne sont plus qu’à un petit point du top 6.
Forcément, les hommes de Christophe Urios seront déterminés à renverser le RCT sur la pelouse de Mayol pour intégrer le top 6.
Interrogé via La Montagne, le pilier Clermontois Etienne Falgoux a expliqué que le groupe Auvergnat a pris le temps de passer du bon temps, la semaine dernière. Extrait:
« Oui, c’est important de garder ce lien entre nous. Parfois, on fait des trucs, avants d’un côté, trois-quarts de l’autre, mais là, c’était tout le collectif. On a passé la journée au stade, on s’est fait un laser game le matin sur le terrain d’entraînement et après un bon barbecue. On met tous la main à la pâte, s’amuse le pilier. Argentins, Samoans, Australiens, Français… tout le monde coupe, découpe, fait cuire, c’est une bonne ambiance et ça entretient vraiment l’esprit d’équipe. »
Il évoque ensuite la détermination de son équipe. Extrait:
« C’est une situation assez particulière, parce qu’il y a peu de temps, on claquait des genoux et maintenant, on regarde un peu plus haut. L’état d’esprit est un truc fort dans une équipe, cela peut nous transcender dans les moments clés, estime le gaucher clermontois. Cela peut nous aider à aller plus loin, à repousser nos limites. C’est quelque chose qui peut nous servir en tout cas. »
Pour conclure, Etienne Falgoux explique comment il s’est impliqué au sein du groupe durant sa blessure contractée au biceps qui l’a tenu éloigné des terrains pendant trois mois. Extrait:
« Je me suis un peu occupé de la mêlée, avec Rabah Slimani aussi. Je suis intervenu sur ce secteur lors des séances dédiées et j’ai essayé d’apporter mon expérience. Je me considérais un peu comme en stage (sourires). La semaine avant ma reprise (à Perpignan), j’ai rendu mon tablier et j’ai remis les crampons. »
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