Ce dimanche après-midi, les Toulousains ont célébré leur victoire en finale de Champions Cup avec leurs supporters, sur la place du Capitole.

Le manager Toulousain Ugo Mola a exprimé sa joie de pouvoir célébrer un tel titre.

Il évoque trois jours de repos avant de reprendre le chemin de l’entrainement pour le Top 14. Extrait:

« C’est un bonheur de partager de tels moments avec les Toulousains. C’est important de faire quelque chose avec eux, beaucoup n’ont pas pu venir à Londres. L’accès a été un peu tronqué pour la finale, il y a quand même des gens qui ont fait l’effort. La finale a été dure, mais il ne faut surtout pas banaliser la perf et les victoires. C’est un groupe incroyable qui montre encore une fois qu’il a tous les attributs pour continuer à haut niveau.

Les connaissant un peu, ne vous inquiétez pas, ils vont célébrer au moins pendant deux ou trois jours. On verra après si on est capable de se remettre au boulot. Il va quand même falloir se remettre vite la tête à l’endroit pour le championnat, parce qu’on ne va pas nous attendre. »

Le demi-de-mêlée Antoine Dupont évoque un moment incroyable pour sa part. Extrait:

« C’est toujours un moment incroyable. À chaque fois qu’on arrive ici et qu’on voit cette place du Capitole remplie, ça fait chaud au cœur. On a un peu du mal à se rendre du palmarès du stade toulousain aujourd’hui. On sentait qu’on avait le potentiel d’écrire nous aussi une page de l’histoire de ce club. »

Thomas Ramos enchaîne. Extrait:

« S’entraîner toute l’année pour vivre ce genre de moment. Il y a beaucoup d’émotion et de joie. On ne s’en lasse pas. On peut être fiers de nous. On connaît l’amour de cette ville pour le rugby, ce que les gens nous donnent à longueur d’année, c’est important ensuite de leur rendre, de communier avec eux. »

Matthis Lebel conclut. Extrait:

«Au moins, jusqu’à dimanche, on va profiter entre nous et avec nos familles. On va aussi se balader et aller voir les gens qui nous soutiennent tout au long de la saison, je pense que c’est important. Ils ne nous oublient pas et c’est peut-être grâce à eux qu’on a eu ce supplément d’âme à la fin.»