Swan Rebbadj : « J’ai retrouvé mes capacités même si c’est encore compliqué »
Swan Rebbadj : « J’ai retrouvé mes capacités même si c’est encore compliqué »
Le jeudi 29 février 2024 à 19:04 par David Demri
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Le deuxième ligne du Rugby Club Toulonnais, Swan Rebbadj n’a pas encore réussi à enchaîner les matches avec Toulon depuis son retour de blessure.
Probablement aligné contre Perpignan ce samedi, le Varois s’est présenté en conférence de presse ce jeudi midi.
Ce-dernier a fait un point sur ses capacités physiques.
Il explique être à 99% de ses moyens. Extrait:
« J’ai retrouvé mes capacités même si c’est encore compliqué. Mais plus je m’entraîne plus ça va. J’ai de l’appréhension sur les contacts et les sauts en touche. Mais il faut surtout que je reprenne le rythme. Je pense être à 99% désormais. »
Questionné sur la période délicate traversée par le RCT, il indique vouloir garder la tête haute. Extrait:
« Il faut toujours rester positif même si c’est un peu tendu en ce moment. Il faut garder la tête haute et rester positif, donner une bonne image même si c’est dur. On est obligé de penser à la situation mais on veut rester positif et donner le meilleur de nous même samedi. »
Il s’attend à un match costaud contre l’USAP. Extrait:
« Perpignan est une grosse équipe comme toutes les équipes du Top 14. Il n’y a plus de match facile, de match à l’extérieur ou à domicile. Toutes les équipes gagnent de partout désormais. Chaque week-end c’est un gros match qui nous attend. »
Il évoque également la présence de Franck Azéma dans le camp adverse. Extrait:
« On connait bien Franck Azéma et on sait qu’il est vicieux. Franck est resté un an et demi à Toulon. Il a fait beaucoup de bien et ça va faire plaisir de le voir. Il a mis en place des choses simples, tout le monde a adhéré. Il nous a donné de la confiance. Mais c’est le passé donc ça ne sert à rien d’en parler. »
Pour conclure, Swan Rebbadj parle de son frère Rayan qui joue avec Antoine Dupont en équipe de France à VII. Extrait:
« Ca fait plaisir de voir mon frère jouer à ce niveau. C’est une fierté pour moi et ma famille. C’est du bonheur, il se régale, il fait le tour du monde. Je me mets à sa place et ça doit être un kiff. J’essaye de regarder dès que je peux. Mais si c’est à 4 heures du matin non. Mais entre nous, on ne parle pas trop de rugby. On parle davantage football ou autre que le rugby. C’est notre façon de déconnecter du rugby qui est présent dans nos vies. »
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