Giovanni Habel-Kuffner enchaîne les affaires extra sportives : Explications !

Giovanni Habel-Kuffner enchaîne les affaires extra sportives : Explications !

Le mardi 5 décembre 2023 à 17:22 par David Demri

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Le troisième ligne du Stade-Français Paris, Giovanni Habel-Kuffner risque gros.

Après avoir enfreint le règlement en sortant dans les rues de Pau malgré l’interdiction de sa direction, le puissant troisième ligne Parisien a dégénéré en frappant au visage un membre du staff technique de Pau, en pleine soirée.

Depuis cette nuit, le joueur de 28 ans est sous la menace d’un licenciement.

Ce n’est pas le propriétaire Hans-Peter Wild qui décidera du sort de son joueur, mais le technicien Laurent Labit.

Ce mardi matin, le joueur Parisien était convoqué par sa direction pour tenter de se défendre et expliquer sa version des faits.

Ainsi, il s’est exprimé devant Hans-Peter Wild mais également Thomas Lombard.

Pour l’heure, il n’a pas été mis à pied et aucune décision n’aurait été prise quant à son sujet.

Problème : il s’agirait d’une récidive pour le Parisien.

Selon L’équipe, la saison dernière, Habel-Kuffner avait déjà dérapé en soirée, juste après le derby contre le Racing 92.

A Pau, Habel-Kuffner est même passé devant la justice pour s’être retrouvé ivre un soir de Noël, en bas d’un immeuble. Cela remonte à 2019.

Ce-dernier avait insulté les forces de l’ordre. Il avait finalement été gazé pour être embarqué et conduit jusqu’au commissariat.

Une fois dégrisé, l’ancien Palois avait reconnu les faits et s’était excusé. Il avait été condamné à deux mois de prison avec sursis et 1000 euros d’amende.

L’équipe précise que, pour le moment, le membre du staff Palois n’a pas porté plainte suite au coup de poing reçu dans un établissement de nuit.

Le journal sportif affirme que le joueur ferait profil bas.

Désormais, le Stade-Français va devoir trancher : lui laisser une nouvelle chance ou se séparer de lui.

D’ailleurs, certains clubs du Top 14 se seraient déjà positionnés sur le dossier dans le cas où le joueur se faisait licencier.

Affaire à suivre…

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