Le très beau message de Siya Kolisi envoyé à Tom Curry

Le très beau message de Siya Kolisi envoyé à Tom Curry

Le jeudi 26 octobre 2023 à 18:00 par David Demri

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Interrogé en conférence de presse sur la finale à venir face aux All Blacks, le capitaine des Springboks Siya Kolisi n’a pas caché son appétit.

« Je pense que je n’ai jamais été aussi prêt pour samedi, c’est le plus grand match de ma vie », a-t-il lancé.

« C’est toujours incroyable de jouer contre les All Blacks mais de les jouer en finale de Coupe du monde en tant que numéro 1 et numéro 2 mondiale, ce n’est même pas quelque chose auquel tu peux rêver parce que ça n’arrive pas souvent et je ne pense pas que ça arrivera de nouveau dans notre vie.

« C’est énorme. On a fait la meilleure préparation possible. On sait à quoi s’attendre. Pour un joueur de rugby, c’est le top. Les All Blacks ont avancé dans l’ombre et maintenant, on les retrouve ici en finale. Il va falloir qu’on trouve des solutions aussi. C’est le summum, je pense que ça va être le plus grand match de ma vie. »

Siya Kolisi est habitué à céder sa place en seconde période de jeu.

Pourtant, ce-dernier espère toujours jouer un maximum. Extrait:

« Bien entendu, j’aimerais jouer davantage mais à ce moment-là, je sais que je n’en ai plus dans le réservoir. Je ne me focalise pas sur moi. Des décisions sont prises et on se dit : « est-ce que je fais la tronche ou est-ce que je passe à la suite ? » Quand le staff sélectionne l’équipe, ils ne se contentent pas de l’annoncer, ils expliquent leurs choix. Chacun a un rôle à jouer. C’est comme ça que le groupe aborde ça. C’est l’intérêt collectif qui prime. »

Pour conclure, Siya Kolisi indique avoir envoyé un message à Tom Curry après la polémique autour d’une éventuelle insulte raciste provenant du talonneur international Sud-Africain Mbonambi. Extrait:

« Je lui ai parlé, je lui ai envoyé un message. C’est quelqu’un que je respecte. Nous, les joueurs, on est capables de gérer ça mais quand ça touche les familles, c’est différent. Je lui ai dit qu’on était derrière lui, qu’on pensait à lui. »

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