Tawera Kerr-Barlow : « Dans ma tête, je crois que j’ai 25 ans »

Tawera Kerr-Barlow : « Dans ma tête, je crois que j’ai 25 ans »

Le dimanche 20 août 2023 à 9:57 par David Demri

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Le demi-de-mêlée du Stade Rochelais, Tawera Kerr-Barlow s’est confié via Sud-Ouest avant le match contre Montpellier, programmé ce dimanche soir.

Il confirme avoir fêté ses 38 ans cette semaine. Extrait:

C’était cool, j’ai passé une bonne journée, on a fait un petit goûter après l’entraînement de jeudi, car on n’a pas pu le faire le mardi.

C’est une sensation bizarre, j’en parlais avec Teddy Iribaren (qui a 32 ans, NDLR), je pense qu’on est les plus vieux du vestiaire maintenant, en attendant le retour de Uini Atonio, Brice Dulin et « Lepsy » (Levani Botia), qui est le plus vieux (34 ans, NDLR). Alors que dans ma tête, je crois que j’ai 25 ans (rires), mais c’est bon, je me sens bien en forme.

Il confirme que défier Montpellier dès la première journée est un gros défi. Extrait:

Non, pas du tout, mais c’est un bon défi pour nous. On aime bien ça, faire des choses qu’on n’a jamais réussies avant. On a passé une bonne semaine d’entraînement, on partira là-bas pour gagner.

Personnellement, je me sens bien, j’ai passé de bonnes vacances avec ma famille pendant trois semaines, j’ai bien rechargé les batteries. On est prêts pour attaquer ce premier match de Top 14.

Il est ensuite revenu sur le format particulier du Top 14 en cette période Coupe du monde. Extrait:

Bien sûr, il n’est pas normal, mais on ne peut pas contrôler cela. Je vous ai toujours dit qu’on ne se concentrait que sur les choses qu’on peut contrôler : notre préparation, notre comportement, nos attitudes… On va jouer ces trois premiers matchs avant un petit break, puis on recommencera après la Coupe du monde. On n’a pas le choix, mais ça ne nous dérange pas.

Il a ensuite parlé du retour d’Ihaia West à La Rochelle. Extrait:

Oui. Je l’ai rencontré quand nous étions élèves, quand nos écoles s’affrontaient, puis quand j’étais aux Chiefs (l’équipe de Waikato, en Super Rugby, NDLR). Après, il a passé quatre ans ici… Il avait hâte de revenir, on a continué comme d’habitude. Est-ce qu’il a changé ? Non, pas du tout, il est toujours tranquille.

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