Le manager du Rugby Club Toulonnais, Franck Azéma s’est confié sur Twitch, ce jeudi soir pour répondre aux questions des supporters.

Ce-dernier indique que le staff Toulonnais va essayer de gérer du mieux possible l’effectif Varois pour la fin de la saison.

Il rappelle que le RCT flirte avec la ligne rouge concernant le quota JIFF.

Il fait le point. Extrait:

« On va d’abord se concentrer sur le quart de finale mais derrière, il y aura un enchaînement de matches de Top 14. On ne va pas calculer si c’est Perpignan, Castres ou autre. On va essayer de gagner ces matches et on va donc aligner notre meilleure équipe possible.

On essaye d’avoir de la cohérence dans la rotation. Des garçons jouent beaucoup mais on intègre régulièrement deux ou trois garçons chaque semaine qui apporte de la fraicheur et de la concurrence.

Nous avons également en tête la règle des JIFF et on flirte avec la moyenne des 16. On veut rester au-dessus évidemment et ça fait partie des aspects que l’on essaye de maîtriser au mieux. Mais ça fait partie du job et c’est ce qu’on essaye de faire avec l’ensemble du staff, le médical, le staff terrain.

Les JIFF, c’est quelque chose que l’on regarde. Mais je ne pense pas qu’on puisse aligner que des JIFF contre Perpignan. On a tenu compte de cela tout au long de la saison et on va faire du mieux possible jusqu’à la fin de la saison. Ce qui m’agacerait c’est qu’on dise que l’on fait du JIFF. Je ne pense pas que l’on fasse des feuilles de matches en faisant uniquement des JIFF. Il y a des jeunes qui jouent en ce moment car ils sont bons et qu’ils ont de la qualité. On va essayer d’avoir ce raisonnement là jusqu’à la fin de la saison. Et on connait cette règle et on reste vigilant.

L’année dernière c’était différent car c’était une course contre la montre et à Pau on avait sécurisé le quota JIFF, tout comme contre le Racing l’année dernière. Mais c’est un contexte différent cette année.

On essaye de se coordonner le mieux possible pour être vigilant à tout cela et essayer d’avoir les hommes en forme du moment sur le terrain et d’avoir de bonnes conditions. Il y a des discussions permanentes tout au long des journées. Il faut avoir un ressenti similaire à la fin de la journée pour que l’on reste cohérent. »