Maxime Mermoz atomise Philippe Saint-André et le traite de baltringue !
Maxime Mermoz atomise Philippe Saint-André et le traite de baltringue !
Le mercredi 4 janvier 2023 à 18:21 par David Demri
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Lors du podcast « En terrain conquis« , l’ancien trois-quarts centre du XV de France, Maxime Mermoz n’a pas manqué de massacrer Philippe Saint-André.
Ce-dernier n’a vraiment digéré sa non-sélection dans le groupe France pour la Coupe du monde de 2015.
Selon lui, Philippe Saint-André a essayer de retenir tous les joueurs possibles pour éviter à tout prix de le sélectionner à lui. Extrait:
« Il a essayé de prendre n’importe qui, tous les mecs possibles et inimaginables pour ne pas me faire jouer. Il ne savait pas comment l’expliquer et il avait l’air d’un con. Là où il s’est ridiculisé, c’est quand il ne me prend pas pour le Tournoi des Six-Nations 2015 en disant que c’est un choix sportif alors que j’étais régulièrement cité comme le meilleur centre du championnat. Et une semaine après, il m’a rappelé. Il me nomme même capitaine des trois-quarts. Thierry Dusautoir est venu me voir en me disant que ça faisait du bien que je sois revenu pour réveiller un peu tout ça. »
Il raconte comment il a appris sa non-sélection au sein du groupe France pour le Mondial de 2015. Extrait:
« Médiatiquement, on me décrit comme la valeur sûre, le papa des trois-quarts. La veille de l’annonce, ou le matin, Pierre Mignoni me dit qu’il a eu le staff du XV de France, qu’il n’y a pas de surprises, que c’est bon… Je me suis dit : « putain, j’ai lutté 4 ans pour m’imposer.
Et là, lors d’un entraînement de Toulon délocalisé à Six-Fours, on vient me voir et on me dit « désolé Max ». J’ai répondu : « Quoi ? ». On m’informe que je ne suis même pas parmi les réservistes. J’ai cru que c’était une caméra cachée. En fait, il n’a pris que ses potes. Il savait qui allait être titulaire, et qui serait content d’être remplaçant. C’est là où je me suis dit que le rugby français est une grosse supercherie et qu’il n’a pas à se plaindre d’avoir des résultats de merde. »
Maxime Mermoz conclut. Il n’hésite pas à traiter Philippe Saint-André de baltringue. Extrait:
« Dans un couloir, alors que je discutais avec le chef sommelier de la soirée, ce coach passe, et il baisse la tête au moment où il passe à côté de moi. Même pas un bonjour, rien. Là, je me dis que je savais bien que c’était une baltringue, un lâche. Lui, il invitait les journalistes au restaurant la semaine pour qu’ils soient gentils avec lui. »
Propos retranscrits par Actu.fr
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