Azam a convaincu

Azam a convaincu

Le jeudi 9 juin 2011 à 12:28 par David Demri

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L’ancien talonneur international Olivier Azam, en fin de contrat à Gloucester, est le nouvel entraîneur des avants toulonnais. A 36 ans, le successeur d’Aubin Hueber va véritablement débuter sa reconversion.
On attendait Serge Milhas. Puis Laurent Seigne et enfin Marc Dal Maso. Voire Christophe Hamacek et Marc Raynaud. C’est finalement Olivier Azam qui succèdera à Aubin Hueber dans le staff du RCT. L’ancien talonneur international (10 sélections, 36 ans), en fin de contrat à Gloucester où il a tout connu depuis onze ans (ndlr : hormis une saison à Clermont en 2002-203), va désormais s’occuper des avants toulonnais aux côtés de Philippe Saint-André. Son ancien coach en Angleterre. « Je n’y avais pas pensé, reconnaît le président varois Mourad Boudjellal. Ce n’est pas un choix par défaut. C’est une mixité entre différentes personnes que nous avons rencontrées : le sérieux et la science de Milhas, la rigueur de Seigne et l’enthousiasme de Dal Maso. On va voir si je me trompe ou pas. Je me fie toujours à mon instinct. C’est la bonne personne pour le bon poste. C’est totalement subjectif. » Alors qu’il aurait pu intégrer à temps plein l’encadrement des Cherry and White, tout s’est fait très vite ces derniers jours avant l’officialisation effectuée mardi après-midi à Mayol.
« J’ai été contacté par le président et Philippe qui ont envisagé ma candidature au sein du club, dit-il. Les choses se sont un peu précipitées. On s’est rencontré lundi. Et après avoir visité les très bonnes installations et la discussion avec le président, c’était facile de décider de rejoindre un staff technique de très bon niveau et travailler avec des gens que je connais bien comme Philippe Saint-André et Pierre Mignoni. Cela facilite les choses. » Des propos confirmés par Boudjellal : « C’est un nom qui nous est apparu la semaine dernière. On s’est rendu compte qu’il était entraîneur à Gloucester, pour les touches et les mêlées, depuis quelques années. Philippe l’a contacté et on a décidé assez vite de le faire venir à Toulon alors que nous étions sur le point de faire signer d’autres entraîneurs. On a organisé un déjeuner de complaisance car au départ, je n’étais pas plus emballé que ça. Après le déjeuner, j’ai décidé de le faire signer car j’ai été séduit par son discours, son professionnalisme et son analyse sur l’année du RCT. »
Après une saison décevante conclue par une déroute à Montpellier et une non-qualification pour les phases finales, Toulon devra rebondir la saison prochaine. Olivier Azam, comme Pierre Mignoni, sera chargé d’apporter son analyse et son expérience. On a pourtant des débuts de reconversion plus faciles. « C’est vrai que Toulon est un club très médiatique et nous allons être regardés à la loupe, lance celui qui a disputé 107 matchs de championnat anglais. Mais il y a un vrai groupe de joueurs ici et déjà des bases. Il faut donner un nouvel élan. » Tout en se faisant respecter par une pléiade d’internationaux. De quoi susciter une certaine appréhension ? « Non, ce n’est pas quelque chose que j’appréhende. Au contraire. Je vois plutôt ça comme une chance. Cela facilite les choses. Il faut d’abord créer une entente dans le groupe, c’est important d’avoir un collectif pour que le paquet d’avants fonctionne. On veut construire quelque chose de solide. » Et s’installer dans la durée.

L’ancien talonneur international Olivier Azam, en fin de contrat à Gloucester, est le nouvel entraîneur des avants toulonnais. A 36 ans, le successeur d’Aubin Hueber va véritablement débuter sa reconversion.

On attendait Serge Milhas. Puis Laurent Seigne et enfin Marc Dal Maso. Voire Christophe Hamacek et Marc Raynaud. C’est finalement Olivier Azam qui succèdera à Aubin Hueber dans le staff du RCT. L’ancien talonneur international (10 sélections, 36 ans), en fin de contrat à Gloucester où il a tout connu depuis onze ans (ndlr : hormis une saison à Clermont en 2002-203), va désormais s’occuper des avants toulonnais aux côtés de Philippe Saint-André. Son ancien coach en Angleterre. « Je n’y avais pas pensé, reconnaît le président varois Mourad Boudjellal. Ce n’est pas un choix par défaut. C’est une mixité entre différentes personnes que nous avons rencontrées : le sérieux et la science de Milhas, la rigueur de Seigne et l’enthousiasme de Dal Maso. On va voir si je me trompe ou pas. Je me fie toujours à mon instinct. C’est la bonne personne pour le bon poste. C’est totalement subjectif. » Alors qu’il aurait pu intégrer à temps plein l’encadrement des Cherry and White, tout s’est fait très vite ces derniers jours avant l’officialisation effectuée mardi après-midi à Mayol.

« J’ai été contacté par le président et Philippe qui ont envisagé ma candidature au sein du club, dit-il. Les choses se sont un peu précipitées. On s’est rencontré lundi. Et après avoir visité les très bonnes installations et la discussion avec le président, c’était facile de décider de rejoindre un staff technique de très bon niveau et travailler avec des gens que je connais bien comme Philippe Saint-André et Pierre Mignoni. Cela facilite les choses. » Des propos confirmés par Boudjellal : « C’est un nom qui nous est apparu la semaine dernière. On s’est rendu compte qu’il était entraîneur à Gloucester, pour les touches et les mêlées, depuis quelques années. Philippe l’a contacté et on a décidé assez vite de le faire venir à Toulon alors que nous étions sur le point de faire signer d’autres entraîneurs. On a organisé un déjeuner de complaisance car au départ, je n’étais pas plus emballé que ça. Après le déjeuner, j’ai décidé de le faire signer car j’ai été séduit par son discours, son professionnalisme et son analyse sur l’année du RCT. »

Après une saison décevante conclue par une déroute à Montpellier et une non-qualification pour les phases finales, Toulon devra rebondir la saison prochaine. Olivier Azam, comme Pierre Mignoni, sera chargé d’apporter son analyse et son expérience. On a pourtant des débuts de reconversion plus faciles. « C’est vrai que Toulon est un club très médiatique et nous allons être regardés à la loupe, lance celui qui a disputé 107 matchs de championnat anglais. Mais il y a un vrai groupe de joueurs ici et déjà des bases. Il faut donner un nouvel élan. » Tout en se faisant respecter par une pléiade d’internationaux. De quoi susciter une certaine appréhension ? « Non, ce n’est pas quelque chose que j’appréhende. Au contraire. Je vois plutôt ça comme une chance. Cela facilite les choses. Il faut d’abord créer une entente dans le groupe, c’est important d’avoir un collectif pour que le paquet d’avants fonctionne. On veut construire quelque chose de solide. » Et s’installer dans la durée.

Source: rugby365.fr

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  1. gégé 9 juin 2011 at 16h

    Les Gars faitent du bon boulot pour notre plaisir parce que Toulon

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