Melvyn Jaminet : « Je n’ai pas des grosses cuisses pourtant »
Melvyn Jaminet : « Je n’ai pas des grosses cuisses pourtant »
Le jeudi 13 octobre 2022 à 18:55 par David Demri
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L’arrière international Français du Stade-Toulousain, Melvyn Jaminet s’est confié via Actu Rugby pour évoquer son début de saison effectué avec son nouveau club.
Ce-dernier explique avoir déjà énormément progressé depuis son arrivée à Toulouse.
Il s’y sent d’ailleurs très bien et savoure ce bon début de saison. Extrait:
« Personnellement, je ne sais pas si j’ai déjà changé de dimension. Le plus gros changement, il réside dans l’envie de jeu, de déplacement qui me change énormément. J’étais moins habitué à cela auparavant, ça m’a même fait bizarre au début. Après, sur ces premiers mois ici, j’ai énormément progressé. C’est pour ça que je suis satisfait d’avoir rejoint Toulouse : je sens que je progresse et que j’ai une grande marge de progression.
Je me sens très bien, et je me suis très vite acclimaté à cette ville. C’est important de bien se sentir dans la ville où tu arrives. Au sein du club, je connaissais quelques joueurs via l’équipe de France et ce fut un plus, j’ai moins appréhendé. Le reste s’est fait naturellement, et je pense qu’il y a vraiment une bonne émulation dans ce groupe. »
Lorsque le journaliste lui demande d’où vient cette force de frappe, lui qui est capable de passer des pénalités de plus de 50 mètres de distance, Melvyn Jaminet avoue ne pas savoir.
Selon lui, c’est sa technique qui lui donne cette force étant donné qu’il n’a pas de grosses cuisses. Extrait:
« Si je le savais, je le dirais (rires). On me pose souvent la question, et personnellement je ne sais pas. Depuis tout petit, j’adore buter, et je pense avoir une frappe assez naturelle. Je n’ai pas des grosses cuisses pourtant (rires). Cela vient peut-être de la technique de frappe, on n’a pas forcément besoin d’être solide pour buter de loin. Petit, je tapais, je reculais et chaque semaine j’essayais de buter de plus en plus loin. Bon, au bout d’un moment, je ne pouvais plus reculer. Avec le travail, la puissance est venue avec. »
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Il s’est molisé lui