Le président de Perpignan évoque son départ et sa succession
Le président de Perpignan évoque son départ et sa succession
Le jeudi 10 mars 2022 à 11:09 par David Demri
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Le président de Perpignan, François Rivière s’est confié via L’Indépendant pour évoquer son avenir.
Ce-dernier a expliqué ne surtout pas vouloir faire l’année de trop à la tête de l’USAP.
Il songe à quitter son poste de président trois ou quatre ans après la Coupe du monde, soit en 2027. Extrait:
« J’aime autant le public que le rugby. Je veux apporter à ce territoire. Tant que j’estimerais que c’est utile, je resterai. Mais je ne veux pas être un vieux président et faire le mandat de trop. J’ai 58 ans. Trois ou quatre ans après la Coupe du monde de rugby, je pourrais envisager de prendre le large. Ce qui ne veut pas dire que je ne garderai pas l’actionnariat de l’USAP. »
Concernant sa succession ? Il pense fortement à Bruno Rolland. Mais ce n’est pas à l’ordre du jour. Extrait:
« Ma succession ? Oui j’y pense. C’est une des raisons pour laquelle j’ai voulu que le pouvoir sportif soit autonome du pouvoir dirigeant. Si demain, il m’arrive quelque chose, c’est Bruno Rolland qui prendrait ma succession. Mais attention, je n’annonce pas non plus que je m’en vais. Ne me faites pas dire, ce que je n’ai pas dit. Toutefois, je veux avant tout, avec Bruno Rolland et Patrick Arlettaz stabiliser sur le plan sportif ce club en Top 14, avec le temps, à la dixième place. Et mobiliser les collectivités territoriales sur le fait de donner au club. De plus, j’envisage des projets communs avec d’autres clubs, d’autres sports du territoire catalan. On pourrait foisonner nos moyens et arrêter d’avoir dix directeurs généraux. Petit à petit, on aimerait s’entourer, voir plus large, voir plus loin. »
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Mis à 58 ans c’est un bébé à côté du notre de président.
Pour ceux qui font encore une fixation sur l’âge , il est un dicton qui dit » nous n’avons que l’âge de nos artères » et tout dépend bien sûr comment au fil des années on entretient son corps, son hygiène de vie et sa mémoire.
Mon père ancien joueur de rugby à vécu jusqu’à 103 ans, faisait un minimum de sport journalier, et se rappelait du nom des rues de TOULON mieux qu’un jeunot qui à besoin de son smartphone, iphone ou GPS pour se situer dans l’espace ou répondre rapidement à une question d’ordre général.