Juan Imhoff se rappelle lorsqu’il a joué demi-de-mêlée lors de la finale de Top 14 contre Toulon
Juan Imhoff se rappelle lorsqu’il a joué demi-de-mêlée lors de la finale de Top 14 contre Toulon
Le jeudi 7 octobre 2021 à 11:40 par David Demri
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Lors d’un entretien accordé au journal Midi Olympique, l’ailier international Argentin du Racing 92, Juan Imhoff s’est remémoré de la finale de Top 14 contre le Rugby Club Toulonnais disputé à Barcelone, en juin 2016.
Suite à l’expulsion de Maxime Machenaud pour un plaquage à retournement sur Matt Giteau, Juan Imhoff a été décalé au poste de demi-de-mêlée durant la quasi-intégralité de la rencontre.
Un moment fort en stress et en émotion pour Juan Imhoff, lui qui n’avait jamais joué à ce poste.
Il se remémore de ce moment. Extrait:
« Je n’avais jamais joué de ma vie à ce poste. Je ne connaissais pas les annonces en touches, mais j’ai essayé d’être précis, de coller au ballon et de donner du rythme. Quand Maxime Machenaud est sorti, je n’étais pas très confiant. Mais les coaches m’ont dit que si on enlevait un deuxième ou un troisième ligne pour faire entrer Xavier Chauveau, les Toulonnais allaient nous tuer devant. De mon côté, je me suis juste dit : « moi qui me plains souvent de ne pas toucher assez de ballons, je dois prendre ça comme une chance. »
Je ne sais pas comment j’ai fait. A chaque action, je disais aux autres : « Bon les gars, qu’est-ce-que je fais ? Je le mets où le ballon ? Je fais une passe de combien ? Un mètre ? Deux mètres ? » J’ai certainement pris de mauvaises décisions mais autour de moi, il y avait toujours quelqu’un pour m’aider. A la mi-temps, Xavier Chauveau et Maxime Machenaud m’ont par exemple expliqué beaucoup de choses, sur la technique du poste.
Puis avoir un demi d’ouverture comme Dan Carter fut pour moi un vrai confort. Il me disait : « Tranquille, Juan. Donne-moi le ballon et je m’occupe du reste ! » Petit à petit, j’ai pris de la confiance. A la fin, je me prenais même pour un vrai numéro 9. »
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11 Commentaires
Comment on a fait pour perdre cette finale?
il parait que c’était Collazo 😀 😀
Et sous corticoïdes avec ordonnance anti-datées….
ah oui qu’on menait je sais plus de combien et qu’ils se sont retrouvés à 14 65minutes .. c’était qui déjà l’entraîneur..??
Au moins, on était en finale de la grande coupe d’Europe, un souvenir lointain et qui n’a pas l’air de se profiler à l’horizon, dans l’état actuel des choses…
Après il ne faut pas le blâmer c’était a son insu comme ses deux camarades …
Mais blanchi par le fédé et la presse avant même de passer en commission
Ce jour là il a joué tous les postes du racing sans s’en rendre compte c’était 14 postes à lui tout seul, il parait qu’il pisse encore bleu de la perfusion qu’il a pris ce jour là. Sans oublier son collègue Raynal qui lui ne voyait pas les fautes bleues après le rouge de macheneau (cathédrale de leroux sur Lobbe, faute du pilier qui revient à 2mn de la fin (il l’a publiquement déclaré) et la farandole de pénalités pour le racing pour les maintenir envie. Il parait que la maison de Raynal s’appelle la Barcelorenzeti .
Le plus gros vol arbitral de l’histoire de la coupe d’europe
Il se souvient qu’apres le match il courrait encore dans toutes les tribunes, bien se produit contre le rhume
Dopage….et Boudjellal, si grande gueule d’habitude, n’avait rien dit
Elle vient faire quoi là cette interview ?
Midi olympique a décidé d’ironiser sur le sort de Toulon ou quoi ?
Histoire de dire que même quand on est bons on arrive à perdre des finales à 14 contre 15 avec un ailier qui joue 9…
Nous aussi on s’en souvient de ce match malheureusement.
Depuis ce jour, je ne regarde plus les finales à la maison. J’en suis à la troisième que l’on perd. Mais bon la prochaine finale est pas près d’arriver…
Ils questionnent souvent les joueurs sur leurs souvenirs les plus marquants… Le Rct et ses supporters ne sont pas les nombrils du monde. Désolé Vincent
Le seul moment où il parle de Tonlon, c’est de la peur d enlever un avant.