Le troisième ligne et capitaine du Rugby Club Toulonnais, Sergio Parisse s’est confié au micro de Canal + à l’issue de la large victoire du RC Toulon contre le Stade-Français Paris, ce dimanche soir au Stade Mayol, dans le cadre de la troisième journée du Top 14.

Ce-dernier a expliqué à quel point il était important pour le RCT de s’imposer ce dimanche soir pour lancer sa saison. Extrait:

« C’était important de gagner car on avait failli le premier match à domicile contre Montpellier à la dernière seconde, puis contre Toulouse aussi où le contenu a été plus intéressant notamment en première mi-temps. Mais à la fin, c’est une défaite très difficile. Donc c’était important aujourd’hui de gagner et de lancer un peu notre saison. »

Il est conscient que la situation devient très compliquée pour le Stade-Français Paris qui se retrouve lanterne rouge du Top 14 ce dimanche. Pour lui d’ailleurs, il s’agissait d’un match à part. Extrait:

« C’est sûr que c’est compliqué mentalement pour le Stade-Français de se déplacer après deux matches et deux défaites. Ils avaient fait tourner leur équipe aussi. Ils avaient pas mal de joueurs encore indisponibles donc on a probablement pas joué la meilleure équipe du Stade-Français ce soir. Pour moi, c’était un match à part ce soir. C’était important de valider la semaine de travail qui était vraiment de très haut-niveau et surtout de gagner notre premier match de la saison. »

Pour conclure, Sergio Parisse a expliqué que l’émotion était forte ce dimanche soir, lors de l’hommage rendu à Christophe Dominici. Extrait:

« Expliquer les émotions avec des phrases, c’est toujours compliqué. En tout cas moi je ne suis pas capable, je l’avoue. Mais il y avait beaucoup d’émotion ce soir car c’était le Stade-Français, car Dominici je l’ai connu et on sait tous la personne qu’il a été. C’est toujours très compliqué d’expliquer ces moments avec des paroles et des mots. Ce que je peux dire, c’est que c’était vraiment très fort. Et c’est très bien d’avoir ce trophée en l’honneur de Christophe Dominici, entre ses deux clubs qui étaient dans son cœur. »