Jean-Baptiste Gros : « Je ne peux pas me dire qu’être numéro deux c’est ce dont j’ai envie »

Jean-Baptiste Gros : « Je ne peux pas me dire qu’être numéro deux c’est ce dont j’ai envie »

Le jeudi 16 septembre 2021 à 23:15 par David Demri

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Le pilier gauche du Rugby Club Toulonnais, Jean-Baptiste Gros s’est confié lors d’un entretien accordé à Rugbyrama.

Ce-dernier l’avoue : il n’aurait jamais pensé jouer à un tel niveau : avec Toulon et avec le XV de France.

Il affirme vivre un rêve. Extrait:

« Déjà je n’aurais jamais cru jouer à ce niveau, surtout à Toulon. Quand j’étais petit, jouer à ce niveau était un simple rêve. C’est devenu un objectif au fur et à mesure. À chaque étape, j’y ai cru un peu plus et c’est passé. En équipe de France, j’ai ma place jusqu’à présent mais on sait que le plus difficile c’est d’y rester. C’est peut-être une phrase bateau mais c’est vrai. Il faut toujours continuer à travailler et ne pas perdre le cap sur ses objectifs.

Actuellement deuxième dans la hiérarchie des piliers gauches en équipe de France derrière le Toulousain Cyril Baille, le Varois explique ne pas pouvoir s’en satisfaire. Extrait:

« J’ai encore beaucoup de choses à travailler, j’en suis conscient. Mais je ne peux pas me dire qu’être numéro deux c’est ce dont j’ai envie. Après, c’est tout autant important de débuter un match que de le finir. Il faut tout le monde pour réussir. Pendant le tournoi des Six nations, ça s’est joué en fin de match, la tournée en Australie s’est aussi beaucoup jouée en fin de match. Contre Montpellier, Toulon concède le match nul à la fin de la rencontre donc les remplaçants doivent apporter quelques choses. Mais c’est sûr que commencer un match avec l’équipe de France est assez satisfaisant. »

Pour conclure, Jean-Baptiste Gros indique avoir vécu de très bons moments lors de la Tournée estivale en Australie. Extrait:

« Nous avions un super groupe. On ne va pas cracher sur la victoire. C’est énorme de gagner là-bas. Nous avons aussi montré que nous étions capables de faire de belles choses malgré l’absence des cadres. C’était très encourageant pour nous. Cela montre aussi qu’il y a un gros réservoir de joueurs et qu’en un minimum de temps, si on travaille bien, on peut faire de belles choses. »

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