C’est de pire en pire au Biarritz Olympique : Les factures d’eau et d’électricité n’ont pas été payées

C’est de pire en pire au Biarritz Olympique : Les factures d’eau et d’électricité n’ont pas été payées

Le mercredi 24 mars 2021 à 19:48 par David Demri

17 Commentaires

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C’est de pire en pire un peu plus chaque jour du côté du Biarritz Olympique.

Un fort désaccord existe entre la mairie de la ville et le club. Par conséquent, le président Jean-Baptiste Aldigé cherche par tous les moyens à délocaliser le club dans une autre ville.

Récemment, ce-dernier était en contact avancé avec la ville de Lille pour tenter de délocaliser le Biarritz Olympique dans le Nord. Finalement, l’affaire est tombée à l’eau. Mais le patron du BO n’a pas laissé tomber l’idée et songe à contacter d’autres villes pour accueillir son club.

Ainsi, les villes de Reims, de Monaco, de Nice ou encore de Rouen pourraient être contactées dans les jours à venir.

En attendant, la guerre se poursuit en interne comme nous l’indique Rugbyrama ce mercredi soir. En effet, la mairie a indiqué au Biarritz Olympique qu’il n’avait pas renouvelé les contrats d’eau et d’électricité d’une partie du stade Aguilera.

Dans un courrier adressé au club, la mairie de Biarritz demande aux dirigeants du club Basque de prolonger eux-mêmes les contrats de maintenance et des fluides de la tribune Blanco.

Mais sans réponse du club et étant donné que les contrats sont arrivés à échéance au mois de décembre dernier, tout pourrait être coupé très prochainement.

Généralement, ces formalités administratives sont effectuées par les mairies. Mais étant donné que la guerre est ouverte entre la mairie et le club, la mairie a décidé de mettre des bâtons dans les roues de son propre club.

Et si aucune solution n’était trouvée rapidement, il se pourrait que l’école de rugby du Biarritz Olympique se retrouve dans le noir et sans eau.

Quelle triste affaire…

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17 Commentaires

  1. Vigneron 24 mars 2021 at 21h- Répondre

    C’est bien triste tout ça

  2. Ovalie 24 mars 2021 at 21h- Répondre

    Pour faire un bon match il faut deux belles équipes ( comme samedi soir)
    La que ce soit d’un côté ou de l’autre on des pointures pour faire un combat de coq et de cons.
    Pauvres Biarrots qui se retrouvent pris en otages par ces deux spécimens

  3. Cissé 24 mars 2021 at 22h- Répondre

    Un président qui veut jouer ailleurs à Lille Nice et autres imagine ça à Toulon, je pense que sa voiture aurait déjà brûlée et qu’elle aurait fini dans le port

  4. Groule 24 mars 2021 at 22h- Répondre

    Les contrats «fluides» pour la tribune Blanco, ce n’est sûrement pas un contrat d’eau.

  5. Xa 24 mars 2021 at 23h- Répondre

    C est pas l’eau ou l’électricité qu’il faut débrancher, c’est Aldigé !

  6. Isidore 24 mars 2021 at 23h- Répondre

    C’est le résultat d’un manque de rectitude et de cohérence depuis des années et qui s’est amplifié depuis qu’Aldigé s’est pris pour un bâtisseur.
    Au lieu de se répandre dans la presse à insulter et traiter tout le monde il aurait mieux fait de bosser
    Encore un grand club et tout ce qui s’y rattache qui va sombrer,alors qu’il y a un potentiel fort dans cette agglomération.

    • Chodevan 25 mars 2021 at 06h- Répondre

      Il y a encore Bayonne dans le coin, avec une vraie âme grâce à l’ami Bru

  7. Name 25 mars 2021 at 07h- Répondre

    Biarritz : son casino en sable emporté par l’érosion sur la plage. Son club de rugby en carton emporté par l’égocentrisme et l’incompétence de son élite dirigeante.

  8. Toulousain 25 mars 2021 at 08h- Répondre

    Le caractère de cochon des Basques frappe encore… Si le BO avait fusionné avec Bayonne il y a quelques années, ils n’en seraient pas là aujourd’hui. Le pb c’est qu’ils sont incapable de faire preuve d’intelligence et préfèrent s’étriper. Ils donnent une belle image du pays Basque! C’est triste…

    • gabriel83500 25 mars 2021 at 08h- Répondre

      Nous ne sommes plus au temps du rugby cassoulet. Le monde avance, change.
      Il faut savoir aller de l’avant, sans se renier, sans se trahir.

      La fusion était la solution à cette évolution. En rien elle n’aurait effacée l’identité basque avec toutes les spécificités qui l’accompagnent.

      Ils n’en n’ont pas voulus.
      Voila le résultat.
      Un club s’en sort à « peu près » et un autre qui agonisse.
      Triste…

      • marc 25 mars 2021 at 10h- Répondre

        Bande de commiques, si on vous propose une fusion avec la Seyne dans « l’intérêt du rugby varois » vous serez les premiers à monter au créneau

        • Paul 25 mars 2021 at 11h- Répondre

          Tu as raison rien de mieux que de se rapprocher de Reims, de Monaco, de Nice ou encore de Rouen dans l’intérêt du rugby basque plutôt que bayonne !

        • gabriel83500 25 mars 2021 at 12h- Répondre

          Négatif.

          D’ailleurs un jour ou l’autre la question se posera.
          La Seyne fait partie du var. J’y suis né. Rien ne m’agacerai si cela devait arriver.
          Des joueurs y sont d’ailleurs formés, puis passent au RCt ou vont ailleurs. C’est déjà une forme de fusion en soit.

          Aujourd’hui la question ne se pose pas car il n’y a pas d’enjeu de survie pour la Seyne, ni sportif ni économique . Mais cela pourrai bien arriver.

  9. Cagagne 25 mars 2021 at 09h- Répondre

    Le plus triste c est pour les gamins de l école de rugby

    • Name 25 mars 2021 at 10h- Répondre

      Qu’ils aillent s’inscrire à Bayonne!

  10. Toulausannois 25 mars 2021 at 09h- Répondre

    Plus de fluide pour Blanco, c’est ballot ! 😉

  11. Raymond 25 mars 2021 at 11h- Répondre

    Depuis le décès de son financier mécène (généreux), il n’y a plus d’entente capable ? Serge Blanco semble mettre un genou à terre !