Patrice Collazo avoue avoir un lien très fort avec Vincent Pelo
Patrice Collazo avoue avoir un lien très fort avec Vincent Pelo
Le samedi 13 mars 2021 à 10:06 par David Demri
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Le pilier Vincent Pelo a récemment quitté le Stade Rochelais pour rejoindre les rangs de l’Aviron Bayonnais pour la fin de la saison 2020 / 2021.
Interrogé dans les colonnes du Midi Olympique de vendredi, le joueur de 32 ans explique avoir retrouvé à Bayonne la confiance du staff, comme lorsqu’il évoluait sous les couleurs de La Rochelle, du temps de Patrice Collazo. Extrait:
« J’avais besoin de jouer, et pour ça il faut de la confiance. J’ai retrouvé dans Yannick Bru et leur projet celui que Patrice Collazo portait à La Rochelle, à l’époque, quand on jouait le maintien. »
Pour son premier match avec Bayonne, Vincent Pelo est venu s’imposer à Mayol contre une équipe Toulonnais extrêmement diminuée. L’occasion pour Patrice Collazo d’évoquer les qualités de son ancien joueur.
Il est conscient que le pilier sort de deux saisons compliquées. Extrait:
« Il sort de deux saisons compliquées à La Rochelle, mais c’est une histoire de contexte. »
A l’époque, Vincent Pelo s’était très bien intégré au contexte Rochelais. D’ailleurs, Patrice Collazo ne cache pas avoir un lien très fort avec ce joueur. Extrait:
« Très vite, il s’est très bien intégré au contexte de La Rochelle à l’époque. Il fait partie des joueurs avec qui j’ai un lien très particulier et très fort au-delà du rugby. Il y en a qui diront qu’il est compliqué à gérer, mais c’est quelqu’un qui marche à l’affectif. Dès fois, ça peut-être borderline, mais une fois que vous lui faites confiance, il répond présent. »
Selon Patrice Collazo, Vincent Pelo se sentira à merveille à Bayonne puisque le manager Basque Yannick Bru lui conviendra parfaitement bien. Extrait:
« Vincent a besoin des hommes, autour, qui le comprennent. Après, le comprendre, ce n’est pas tout lui pardonner. Au contraire, il faut le recadrer, mais il peut apporter à l’Aviron de la densité et un peu plus de rotation. Il est capable d’être hyper-complet, mais pour ça, il faut qu’il soit bien entouré, dans un collectif où il se sent bien. Il a besoin de ce lien filial avec l’entraîneur pour en tirer le meilleur. Sinon, il ne se sent pas à l’aise. J’en ai souvent parlé avec Yannick Bru et c’est un entraîneur qui lui conviendra très bien, car il saura lui dire les choses quand elles sont bien et il saura surtout lui dire quand elles sont moins bien. »
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