Quand Mathieu Bastrareaud raconte sa « pire journée de sa vie » avec les Bleus

Quand Mathieu Bastrareaud raconte sa « pire journée de sa vie » avec les Bleus

Le mercredi 13 mai 2020 à 23:09 par David Demri

4 Commentaires

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Lors d’un entretien accordé à Rugbyrama en compagnie de Rabah Slimani et de Guilhem Guirado, le trois-quarts centre international Français, Mathieu Bastareaud a raconté une anecdote concernant la préparation de la Coupe du monde en Angleterre avec le XV de France, en 2015.

Il se rappelle d’une journée en montagne qu’il a détesté avec notamment un contrôle antidopage très tôt le matin puis des activités sportives intenses.

Il raconte cette journée. Extrait:

« J’ai passé une journée horrible. Je me suis levé à 6h00 pour un contrôle antidopage. C’était urine et prise de sang. Déjà ça m’a saoulé. Ensuite il y a eu la via ferrata… c’est bon… (rire). Ensuite on descend et il y a les vélos… On ne savait pas ce qu’on faisait car personne ne nous a rien dit. Ensuite le vélo a cassé… On s’était dit que l’on s’attendait, mais personne ne m’a attendu (rire). On est redescendu en navette et ensuite on avait fait le marche. On a fait trois heures de marche. Trop dur ! On a dormi sur des lits de camp. Le lendemain on a fait des olympiades, il fallait construire un radeau. Sur le moment, j’ai détesté. Mais on a rigolé. »

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4 Commentaires

  1. BANO83 13 mai 2020 at 23h- Répondre

    Quand j ai vu le titre je pensai qu il allait nous raconter sa nuit à Wellington…dommage.

    • Sachas83 14 mai 2020 at 08h- Répondre

      Il l’a déjà fait récemment dans le portrait qui lui a été consacré sur Canal et au bout de 10 ans il pourrait commencer à y avoir prescription sur cette affaire

  2. Captain Swing 14 mai 2020 at 10h- Répondre

    Basta, tu seras toujours un prince rouge et noir…

    Bon là, un prince sans rire !

  3. De son séjour aux USA, il s’est vite habitué au confort. Il va bientôt goûter à nouveau au Jésus en compagnie de son « ami Pierrot ».
    Mais il faut qu’il sache qu’on s’en fout de ses drôleries en EdF, ça n’intéresse que les lyonnais !