Lors d’un direct organisé sur le compte Instagram du Rugby Club Toulonnais, le talonneur Varois Anthony Etrillard a répondu aux questions des supporters.

Voici les questions – réponses :

Comment se passe ton confinement ?
Mon confinement se passe plutôt bien. J’en profite pour être un maximum avec ma famille. Je jardine, je m’occupe de notre maison même si le confinement commence à être un peu long. Mais je pense que c’est nécessaire. Donc surtout, restez bien chez vous.

Comment va ta blessure ?
Au niveau de ma blessure, tout se passe bien pour le moment. Je n’ai pas eu de douleur à la reprise de la course. Même si c’est compliqué de travailler à la maison, j’essaie d’en faire le maximum pour ne pas prendre trop de retard. Mais en tout cas, tout va bien aujourd’hui et j’en suis très content.

Quel est ton meilleur souvenir avec Toulon ?
Mon plus beau souvenir avec Toulon, c’est la finale de Top 14 contre Clermont au Stade de France. Même si nous avions perdu, une finale de Top 14 ça reste gravé à vie. Avec la saison compliquée que l’on avait fait, arriver jusqu’au bout c’était déjà très bien.

As-tu un rituel avant chaque lancer en touche ? 
Oui, j’ai un rituel, c’est une sorte d’automatisme en arrivant à la touche. C’est comme les buteurs, ils ont leur rituel. Nous c’est pareil, on essaie d’avoir toujours le même geste et c’est très important.

Avec quel joueur t’entends-tu le mieux ?
Niveau affinité, je m’entends bien avec toute l’équipe, il n’y a pas de souci. Après, je reste le plus souvent avec ceux qui mangent le plus, donc les gros. C’est souvent avec Florian Fresia, Raphaël Lakafia et mon compère du Pays-Basque : Charles Ollivon.

Que penses-tu des supporters du RCT ?
Je pense que le RCT a une place très importante au niveau des supporters. Ils nous retransmettent cela chaque week-end en venant nous supporter de la meilleure des façons au Stade Mayol.

Fêtes de Bayonne ou apéro sur la Rade ? 
Je vais rester fidèle à mes origines donc je vais choisir les fêtes de Bayonne.

Comment as-tu ressenti ton premier match avec Toulon à Mayol ? 
J’ai ressenti beaucoup de fierté, de connaître la ferveur des supporters, de connaître cette région et ce stade qui est mythique dans la France entière. Pour mon jeune âge, c’était déjà énorme d’en arriver jusque-là. J’en garderai de très très bons souvenirs.

Qui est pour toi le joueur le plus talentueux ? 
Pour moi, le joueur le plus talentueux et avec qui j’ai eu l’honneur de jouer, c’est Ma’a Nonu. C’est un joueur complet, il sait tout faire et il nous a démontré cela en réalisant de très belles prestations avec nous. J’en garderai de très bons souvenirs d’avoir joué avec lui.

Ton film préféré ? 
J’ai un film que j’affectionne beaucoup, c’est La vérité que je mens. Dès que je le regarde, je me fends la poire. J’adore l’acteur José Garcia. A chaque fois que je le regarde, c’est toujours le même scénario : je me fends la poire.

Qui a été ta plus belle rencontre pendant un match ? 
C’était le fait de pouvoir jouer avec Toulon contre Bayonne lorsqu’ils étaient remontés en Top 14. Il y avait un paquet de mecs en face avec qui je jouais l’année précédente et ça m’avait fait tout bizarre de jouer contre mes anciens coéquipiers. Mais ça m’avait marqué sur le moment.

Quel est ton secret pour avoir un beau mulet ?
C’est assez complexe car ce n’est pas quelque chose que l’on peut faire d’un seul coup. J’ai commencé à faire le mulet bien plus jeune, à l’âge de 14 ans. Après j’ai eu une période où j’ai arrêté. Je l’ai perfectionné et je l’ai refait. Il faut surtout avoir un bon coiffeur.