Sébastien Vahaamahina réagit à sa suspension de 6 semaines
Sébastien Vahaamahina réagit à sa suspension de 6 semaines
Le lundi 28 octobre 2019 à 7:29 par David Demri
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Lors d’un entretien exclusif accordé au Midi Olympique, le deuxième ligne international Français Sébastien Vahaamahina a accepté de revenir sur son terrible coup de coude qui a probablement coûté la victoire au XV de France lors du quart de finale de la Coupe du monde contre le Pays-de-Galles.
Le joueur de Clermont explique traverser une période très compliquée. Extrait:
« Comment je vais ? Ce n’est pas facile. Quelques jours sont passés. J’ai retrouvé ma famille, c’est l’essentiel. J’en avais bien besoin. Maintenant, ça continue encore à tourner un peu dans ma tête. C’est comme ça… »
Suspendu six semaines par une Commission de discipline indépendante, Sébastien Vahaamahina a expliqué avoir apprécié que les juges aient pris en considération le fait qu’il soit un joueur très rarement sanctionné. Extrait:
« J’ai apprécié que la commission de discipline prenne en considération le fait que je sois un joueur assez peu sanctionné par rapport au nombre de matchs que j’ai pu jouer (six cartons jaunes et un rouge durant sa carrière, soit environ 200 matchs, N.D.L.R.). Mais être suspendu n’est jamais un plaisir. Si les juges ont estimé que c’était la bonne sanction, c’est que c’est justifié. »
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Humainement l homme est évidemment respectable
En revanche pour un professionnel le geste plus les fautes commises et pénalités ont coûté pas mal de point. Aussi la sanction est faible par rapport au deux fautes commises consécutives lors de la même action.
Je ne peux comprends que cette Commission soit indépendante (à quoi) puisque les membres de cette commission ont été nommés par WORLD RUGBY et cette instance compte un président, un secrétaire et un trésorier et d’autres soumis.
Donc, il n’a aucune objectivité.
C’est comme les contrôleurs de la Salary Cap. Ils sont désignés par Paul GOZE qui est le président de la LNR.
Bien sûr, ces contrôleurs, tout comme les membres de la Commission de discipline sont d’honorables personnes, mais ces personnes sont soumises à n’émettre que ce qu’il leur est demandé d’émettre.
La démocratie est nullement respectée.
L’esprit est nullement respecté.