L’entraîneur des avants du Rugby Club Toulonnais, Fabrice Landreau s’est confié via Rugbyrama au sujet du stage d’oxygénation à Serre-Chevalier qui s’est déroulé entre le 5 et le 8 février dernier.

Ainsi, le technicien Varois explique que la volonté du staff était de couper avec la routine du centre d’entraînement de Berg. Extrait:

« L’idée c’était vraiment de couper avec le contexte de Berg. D’une part ça nous a permis de prendre un grand bol d’air. D’autre part ça nous a permis d’intégrer les joueurs arrivés en cours de saison. Honnêtement, personne n’a craint une blessure. D’abord parce que les conditions étaient idéales. La neige parfaite et le soleil au rendez-vous. Ensuite parce que ceux qui savent skier ne font pas semblant. Nous avons découvert que nous avions quelques excellents descendeurs dans le groupe. Bon, puis ça reste de grands joueurs, aucun n’a été imprudent à la veille de la dernière ligne droite. »

Ainsi, tous les joueurs n’ayant pas participé au stage de pré-saison en Argentine (Malakai Fekitoa, Semi Radradra, Dave Attwood mais aussi certains internationaux Français tels que Xavier Chiocci ou encore Romain Taofifenua et François Trinh-Duc) ont pu goûter à ce stage en altitude.

L’entraîneur des avants Toulonnais a rappelé que durant ce stage, le groupe n’a pas travaillé son plan de jeu. Extrait:

« L’objectif était vraiment de couper et de faire d’autres activités pour se retrouver. C’était ludique. Maintenant, nous avons quand même eu l’occasion de toucher quelques ballons lors d’une démonstration de rugby sur neige. Nous avons fait un petit touch rugby, arbitré par Luc Van Wassenhove. Mais nous étions là pour faire du repos actif et non pas travailler notre plan de jeu. C’était donc à intensité raisonnée. »

Pour conclure, Fabrice Landreau explique combien les joueurs ont pu se lâcher et prendre du bon temps. Extrait:

« Il y avait un micro, on a donc organisé un Karaoké en marge de la soirée déguisée… Les chansons ? Les Argentins ont dû chanter Despacito. On a également entendu Tom Whitford chanter  » I Can’t get no ». Mais le clou du spectacle restera évidemment la chanson de la compagnie créole, qu’a dû chanter Mathieu Bastareaud. »