Certains joueurs « écartés » de l’équipe de France en raison de soupçons ?
Certains joueurs « écartés » de l’équipe de France en raison de soupçons ?
Le dimanche 11 février 2018 à 20:19 par David Demri
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Sur son site France Bleu a réalisé un long reportage autour du dopage au sein du rugby Français. Plusieurs substances sont évoquées telles que les stéroïdes, les corticoïdes ou encore la cocaïne.
Ainsi, le journaliste Germain Arrigoni est allé à la rencontre de plusieurs médecins pour évoquer le sujet sensible. Quelques interlocuteurs l’ont affirmé sans détour: certains joueurs ne sont pas appelés en équipe de France car des soupçons planent autour de leurs consommations.
A lire ci-dessous:
Cet ancien joueur de bon niveau, médecin et dirigeant de club, Christian Bagate a été en charge de la lutte antidopage à la Fédération française de rugby pendant près de 20 ans.
Cet homme très secret a toujours contesté l’existence d’un dopage « organisé » au sein de son sport, comme on a pu le voir dans certaines équipes cyclistes par exemple.
Mais quand nous sommes allés le rencontrer, à Bègles, où il vit, il nous a lâché une explication qui peut permettre de comprendre que parfois, certains joueurs incontestables à leur poste n’aient pas été sélectionnés. « Quand vous êtes en équipe de France, on multiplie les analyses, explique-t-il. Et parfois, on a vu des choses qui nous faisaient douter. C’est arrivé, rarement mais c’est arrivé. On ne l’a jamais dit, mais c’est arrivé. Et ces joueurs, ils ont compris. Ils se sont remis à travailler pour essayer de revenir. Mais comme par hasard, c’était toujours des joueurs qui avaient quelqu’un dans leur environnement qui les conseillait de façon pas toujours très honnête.»
Pour sa part, le président de la commission médicale de l’ASM, Jean Chazal est revenu sur l’affaire concernant les corticoïdes qui a touché le Racing 92, lors de la finale de Top 14 en 2016. Extrait:
L’affaire du Racing a laissé des traces. Jean Chazal, président de la commission médicale de l’ASM Clermont Auvergne Rugby reste dubitatif : « On nous explique que ces joueurs auraient subi des infiltrations (autorisées) à l’entraînement. Mais en cas d’infiltration, le passage sanguin est très faible. Si un joueur présente un taux de corticoïde à deux ou trois fois la limite admise, c’est que les corticoïdes sont passés dans le sang et qu’ils ont boosté le joueur. Je veux rester politiquement correct et n’accuser personne, mais si vous avez un tel taux de corticoïdes, et bien vous devriez être pénalisés ! »
Vous pouvez lire l’intégralité du reportage sur le site de France Bleu.
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Ah Bon ….. a Barcelone On Nous Aurait Menti ?????????????
Go Toulon !
Si il y a un bon Dieu le racing devrait nous rendre le brenus
ça n’effacera pas mes larmes et ma mauvaise mine ce soir là au stade …
il y en a d’autres à écarter sans suspicion de dopage, les 2 centres!!!pas du niveau international
Doumayrou chavancy Lamerat Fall vakatawa palis … indigne d une sélection nationale … Niveau scandaleux …. vakatawa en tête de liste …
Merci GOZE
Et après la FUSION et c est MONTPELLIER QUI EST SANCTIONNER
Un grand bravo à notre président de la LNR
HEI OUI !.. « ON NE NOUS DIT PAS TOUT !.. » Encore du bien joli travail ..
Bonjour,
Je me souviens à Barcelone , à 14 contre 15, pour le RCT,Ils couraient comme des lapins!! Ma femme à l’époque me disait » mais ils sont dopés » moi je croyais qu’ils étaient plus motivés!!! Parfois on ne comprend pas ce qui nous entoure!!
EN plus c est un clermontois qui le dit !!!!!!!!
Avec un taux pareil de corticoïdes tu dois être pénalisé
#je suis dopé #