David Banquet exprime sa joie et son impatience de travailler avec Tana Umaga

David Banquet exprime sa joie et son impatience de travailler avec Tana Umaga

Le lundi 13 novembre 2017 à 12:03 par David Demri

7 Commentaires

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L’ancien pilier du Rugby Club Toulonnais, David Banquet va prochainement vivre une expérience unique. Celui qui a gardé de très bons contacts avec Tana Umaga a été invité par le Néo-Zélandais à entraîner les avants des Blues d’Auckland.

Interrogé via Rugbyrama, David Banquet explique la manière dont se sont déroulés les événements. Extrait:

« Cette perspective est toute nouvelle. Je ne sais pas si je vais parvenir à m’adapter : il y aura quand même la barrière de la langue. Dans un premier temps, je prévois de partir pour deux mois et puis on verra. Avec Tana, on a gardé le contact depuis Toulon. On n’a jamais cessé de s’écrire. Il y a quelques semaines, il m’a dit, « j’aimerais qu’on se voit. » Il allait venir à Bordeaux avec les Maoris All Blacks, c’était l’occasion. Il avait suivi mes débuts comme entraîneur à Libourne où j’ai fait monter le club de cinq divisions en cinq ans, de la Promotion d’Honneur à la Fédérale 1 puis mon aventure à Saint-Nazaire. On a discuté de mes projets, de mon envie de taper à la porte du monde pro puisque j’avais le sentiment d’avoir fait le tour dans le monde amateur. Tana m’a dit : « Si ça te tente, je te prends avec moi aux Blues d’Auckland. » »

Il explique la mission qu’il devra relever en Nouvelle-Zélande. Extrait:

« Entraîneur des avants en binôme avec un autre technicien : animer les séances, participer au débriefing après chaque entraînement, participer à la planification des semaines. Je suis appelé à intervenir sur la mêlée et sur la touche. Ca me plait. J’étais pilier mais j’aime vraiment la touche : il faut être vicieux, malin. »

David Banquet précise avoir toujours été proche de Tana Umaga depuis son arrivée au Rugby Club Toulonnais. Depuis, rien ou presque n’a changé. Extrait:

« A Toulon, on discutait beaucoup. Et il m’avait dit une fois qu’il ne comprenait pas ma carrière : à ses yeux, j’avais tout pour réussir une carrière internationale. « Je ne sais pas qui tu es, ni d’où tu viens mais je pense que tu as loupé quelque chose. » Au RCT, il n’y avait que des internationaux, j’étais une surprise pour lui… Quand il a entraîné, il m’avait déjà demandé de lui filer un coup de main. J’échangeais aussi beaucoup avec Anton Oliver dont il est très proche et je me dis qu’il a du lui parler de ma vision des choses. »

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7 Commentaires

  1. platon 13 novembre 2017 at 14h- Répondre

    SYMPA pour lui ..un tremplin pour une carriere de coach ?

  2. BANO83 13 novembre 2017 at 14h- Répondre

    Je me souviendrai toute ma vie de son essai face à Clermont et on gagne le match à Mayol! Ce jour là il a fait sauter tout un stade, c’était magique!

    • Lionel 13 novembre 2017 at 22h- Répondre

      oui il avait fait la course de sa vie, mieux qu’un ailier lol

  3. Clark 13 novembre 2017 at 18h- Répondre

    Comment s’appelait déjà le deuxième latte argentin qui est derrière la Banque, sur la photo ?

  4. pioupiou 13 novembre 2017 at 19h- Répondre

    voilà le staff qu’il nous faut.
    la galette et ces acolytes servent à nib.

  5. jj83 14 novembre 2017 at 08h- Répondre

    Enorme essai avec Jerry Collins et tout le stade qui l’aide à tomber dans l’en-but et ce jour là on bat Clermont qui nous avait surclassé l’année précédente