Terry Bouhraoua s’en tire ben, Ronan O’Gara écope d’une grosse sanction

Terry Bouhraoua s’en tire ben, Ronan O’Gara écope d’une grosse sanction

Le mercredi 18 octobre 2017 à 19:43 par David Demri

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Ce mercredi, Terry Bouhraoua, le demi de mêlée du Stade Français a écopé de quatre semaines de suspension, le minimum requis, pour deux gestes violents sur un joueur du Krasny Yar, samedi dernier.

Le demi de mêlée du Stade Français Terry Bouhraoua était convoqué ce mercredi devant la commission de discipline de l’European Professional Club Rugby pour deux gestes dangereux. Samedi dernier, lors du match du Stade Français face au Krasny Yar en Challenge Cup, l’international français de rugby à 7, était « soupçonné d’avoir touché la zone entourant les yeux du talonneur Valerii Tsnobiladze » et de l’avoir frappé avec son genou.

L’EPCR l’a suspendu quatre semaines, le minimum requis. Le joueur de 30 ans risquait jusqu’à 52 semaines de suspension et peut donc s’estimer heureux de ne manquer que quatre matchs, contre les London Irish, Clermont, Brive et Oyonnax.

En revanche, la Commission d’appel de la Ligue Nationale de Rugby a été beaucoup moins clémente envers le Francilien Ronan O’Gara qui s’était rendu coupable de propos injurieux lors du match de Top 14 contre La Rochelle.

En effet, l’ancien international Irlandais a écopé de 10 semaines d’interdiction de terrain et de vestiaire d’arbitres. Pour sa part, le Racing 92 va devoir payer une amende de 15 000 euros.

Source: rugby365.fr

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  1. castel 18 octobre 2017 at 20h- Répondre

    la belle justice à la française. Il vaut mieux crever les yeux d’un type que d’invectiver l’arbitre.

  2. Vuillon 19 octobre 2017 at 07h- Répondre

    Il faut savoir lire !
    D un côté c est la commission de la coupe d Europe qui a statué et de l autre celle de la ligue nationale !
    Donc la justice française fait bien son travail pour le coup !

  3. Holly 19 octobre 2017 at 09h- Répondre

    Pour un récidiviste, c’est à rapprocher des 130 jours de M. Boudjellal ou des 16 semaines de Bernard Laporte.