L’ouvreur du Stade Français Jules Plisson, a récemment rencontré les dirigeants du Racing 92, comme révélé par nos confrères de L’Equipe. L’international, également courtisé par La Rochelle, Lyon et Toulouse, devrait bien honorer sa dernière année de contrat dans son club formateur. Comme tous ses partenaires, Plisson attend avec impatience de connaitre les réelles ambitions du nouveau repreneur avant de se décider.

Où jouera Jules Plisson en 2018? L’ouvreur international (25 ans, 13 sélections) est sous contrat pour encore un an avec le Stade Français. Plusieurs clubs se sont déjà manifestés pour s’attacher ses services en vue de la saison 2018-2019. Le Stade Toulousain a notamment fait part de son intérêt par l’intermédiaire de l’entraineur Ugo Mola ainsi que du président René Bouscatel.

De nombreux candidats

Mais aujourd’hui, le Stade Toulousain est en pleine agitation en coulisses avec la probable future nomination de Didier Lacroix à la présidence du club dans quelques semaines. La Rochelle, également à la recherche d’un ouvreur, s’est aussi concrètement positionné. Enfin, Lyon suit de près également l’avenir de Jules Plisson. Mais un autre club pourrait aussi accueillir le joueur du Stade Français.

Un intérêt mutuel

Comme révélé par nos confrères de L’Equipe ce mercredi, l’ouvreur international a en effet de nouveau rencontré les dirigeants du Racing 92 au début du mois. Une information qui nous a été confirmée par plusieurs sources. Déjà à l’automne dernier, Plisson avait visité les installations du Plessis-Robinson. Avec l’épisode la non-fusion, on pensait que les contacts s’étaient refroidis. Il n’en est rien en fait. Les deux parties sont intéressées mais rien n’est signé. Selon nos informations, aucune offre financière n’a été formulée pour le moment. Mais le champion de France doit préparer dès maintenant les fins de contrat de Dan Carter, Benjamin Dambielle et Rémi Talès dans un an.

Les cartes dans les mains de Wild

Si Plisson devait rejoindre le club francilien, ça serait à partir de l’été 2018, pas avant a priori. Car le joueur souhaite bien honorer sa dernière année de contrat, sauf si la reprise par le milliardaire allemand Hans-Peter Wild, officialisée dans les heures à venir, débouchait sur un projet sportif au rabais. Avec dans ce cas-là le départ programmé de plusieurs cadres. Les clubs intéressés, sauf peut-être Toulouse en manque de liquidités, pourraient alors être tentés de racheter sa dernière année de contrat. Comme tous ses partenaires, Plisson attend donc d’en savoir plus sur les réelles ambitions sportives du nouveau repreneur. Le joueur, qui aurait aimé être fixé sur son venir dès le mois de juin, pourrait même choisir de prolonger avec son club formateur avec ce nouveau cycle de trois ans lancé par Wild. Tout est possible donc à l’heure actuelle.

Source: rmcsport.com