Quand Pierre Mignoni compare le Rugby Club Toulonnais et le LOU

Quand Pierre Mignoni compare le Rugby Club Toulonnais et le LOU

Le jeudi 16 février 2017 à 17:00 par David Demri

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L’actuel manager de Lyon et ancien entraîneur des arrières du Rugby Club Toulonnais, Pierre Mignoni s’est confié dans les colonnes de Var-matin au sujet du match à venir de son équipe contre le RCT, samedi soir au Stade Mayol, à l’occasion de la 18ème journée du Top 14.

Ce-dernier a, dans un premier temps, avoué qu’il ne s’attendait pas à ce que son équipe rencontre tant de difficultés cette saison. Extrait:

« Comme on s’y attendait, c’est difficile. Nous sommes dans la continuité de l’an dernier, dans la construction d’un groupe, d’une équipe. C’est vrai que j’espérais un peu mieux un peu plus vite. Le Top 14 est toujours plus dur, toujours plus relevé. Et c’est vrai que nous n’avons pas 35 joueurs du même niveau. »

Par ailleurs, le manager Lyonnais a comparé son club et celui du Rugby Club Toulonnais. Il ne cache pas que la pression à Toulon est bien plus forte. Extrait:

« La pression est identique mais elle est vécue différemment. A Lyon, on est condamné à réussir car il y a un énorme projet derrière. La ferveur est, là encore, exprimée différemment. Il n’y a pas ce côté excessif du sud, la passion est vécue avec sérénité. Les deux clubs n’ont pas la même culture. A Toulon, si tu ne supportes pas la pression, il faut rester à la maison, chez toi bien au chaud. A Lyon, on relativise davantage même si on a un énorme challenge à relever. »

Pour conclure, Pierre Mignoni explique consacrer tout son temps à la réussite du LOU. Extrait:

« Le projet de Lyon est ambitieux. J’y consacre tout mon temps et mon énergie. Le LOU, c’est un peu mon bébé. L’objectif, cette saison, c’est d’assurer le maintien. Après, ce sera d’aller le plus loin possible en se montrant régulier. Ici, il y a un vrai projet. On se doit de réussir. Il ne peu pas en être autrement. A terme, on veut terminer régulièrement parmi les six premiers et disputer la Coupe d’Europe. Au Matmut, on comptait régulièrement entre 11 000 et 12 000 spectateurs. A Gerland, contre le Racing, ils étaient 16 000 à être venus de toute la région. Lyon fait partie d’un de mes plus grands challenges. Je prends beaucoup de plaisir. »

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1 Commentaire

  1. Michel Fery 16 février 2017 at 19h- Répondre

    *ENORME Réussite à TOI , mon PIERROT* !… Tu le mérites amplement . Ta passion te récompensera le jour venu ! Il n’est plus si loin .. Patience , PIERRE !..