Dans son édition du jour, le quotidien L’équipe évoque les répercussions qu’on eu lieu suite à un licenciement d’entraîneur en Top 14.

Ainsi, le journal sportif a fouillé dans les archives et a fait ses calculs. Dans 32% des cas, un licenciement a été négatif pour le club en question. Dans 18% des cas, le licenciement n’a rien changé. Enfin, dans 50% des cas, l’effet du licenciement a été positif.

Du côté des effets négatifs, le quotidien L’équipe se remémore de la mise à pied de l’entraîneur des avants d’Oyonnax, Olivier Azam. Ce licenciement n’a pas sauvé l’USO de la relégation en juin 2016.

Même constat pour Perpignan qui s’était séparé d’un certain Jacques Delmas, le Racing 92 de Simon Mannix, Bayonne de Christian Gajan et Thomas Lièvrement, Biarritz de Serge Milhas ou encore Aix-en-Provence de Christian Labit et Franck Comba.

Du côté des effets dits nuls, on relèvera le départ de d’Aubin Hueber et Thierry Louvet en 2006. Dernier du Top 14, le RCT était redescendu en Pro D2 malgré tout. Même cas de figure au sujet du départ de Fabien Galthié de Montpellier en 2014. Lorsque Fabien Galthié est écarté, le MHR est huitième et il le restera jusqu’à la fin de la saison.

Enfin, du côté des effets positifs, les cas sont plus nombreux. Lors de la saison 2000, le duo Georges Coste-Pierre Trémouille est licencié à cause de l’élimination du Stade-Français en Coupe d’Europe. Suite à cela, l’équipe Parisienne va remporter le Bouclier de Brennus.

A Castres, Serge Milhas n’avait pas été maintenu en 2015, alors que le CO était dernier du Top 14. A la fin de la saison, Castres avait sauvé sa peau et terminait 12ème.

En 2009, le Stade-Français se séparait d’Ewen McKenzie et de Christophe Dominici alors que le club pointait à la 13ème position. Le club de la capitale avait terminé à la 8ème place et s’était ainsi sauvé.

La mise à l’écart de Diego Dominguez sera-t-elle positive pour le Rugby Club Toulonnais ? Rendez-vous en juin.