Jimmy Yobo se confie sur son début de saison à l’aile
Jimmy Yobo se confie sur son début de saison à l’aile
Le jeudi 25 août 2016 à 14:54 par David Demri
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Lors d’un entretien accordé au site officiel du club, le polyvalent trois-quarts Jimmy Yobo est revenu sur la défaite du Rugby Club Toulonnais contre Bayonne, dimanche dernier à Jean-Dauger.
L’ancien joueur d’Oyonnax regrette le grand nombre de fautes réalisées lors de cette rencontre. Extrait:
« Ce sont des matchs de haut-niveau et on doit faire au maximum 10 fautes. Contre Bayonne, on en a fait 13 et on l’a payé cher sur la totalité du match. Même si à chaque fois on a réussi à s’accrocher et à revenir au score, il nous a manqué ces cinq points qui auraient pu arriver sur la fin. On a eu deux ou trois occasions où on aurait pu marquer. Mais sur l’ensemble du match, on peut s’en prendre qu’à nous. On savait très bien que les Bayonnais allaient beaucoup jouer pour essayer de nous gagner par le jeu. On s’y attendait mais parfois on a manqué de lucidité et de compréhension. C’est le premier match aussi et il y a plusieurs cadres pour qui c’était le premier match. Il faut du temps d’adaptation. Mais je ne m’inquiète pas du tout. Même en jouant à un niveau moyen, on a réussi à prendre un point. On va se contenter de ce point-là et on est déjà reparti au boulot pour le prochain match. »
Interrogé sur ses sensations à l’aile, Jimmy Yobo rappelle être un joueur polyvalent. Il n’est vraiment pas dérangé pas le fait d’être utilisé à l’aile plutôt qu’au centre, un poste où il évolue plus fréquemment. Extrait:
« C’est un poste où je suis capable de jouer. J’ai beaucoup parlé avec le staff avant d’évoluer à ce poste-là. C’est quelque chose qui ne me dérange pas du tout. Je suis un trois-quarts polyvalent, je peux jouer au centre, à l’arrière ou à l’aile, il n’y a pas de problème. Après, c’est une adaptation aussi. J’avais joué 25 minutes à ce poste lors du match amical contre le Stade-Français. Je ne me prends pas la tête. Je me donne à 100% et après on verra, on fera les comptes à la fin. »
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